1. Toussaint, fête de tous les seins ?


    Datte: 31/07/2020, Catégories: grp, uniforme, campagne, autostop, Oral double, Partouze / Groupe confession, occasion, Auteur: RobertAnne92, Source: Revebebe

    ... accompagnés d’un mot de mon sauveur.
    
    Petit déjeuner. Une faim de loup. Un brin de toilette avec le peu d’eau chaude que le réservoir accepte de me donner. Nouvel appel à ma mère pour l’informer. Enfin, je ne dis pas la vérité. Pour elle, je suis à l’hôtel. Pas la peine de l’inquiéter. Vous savez combien les personnes âgées s’inquiètent vite. Eh oui, je sais, maintenant à 66 ans c’est moi qui me fais du souci pour mes enfants.
    
    Midi arrive. Une voiture vrombit. La porte s’ouvre. Trois garçons, une fille. Ils me saluent. Ils sont au courant. Pas la fille, manifestement, qui me regarde d’un drôle d’air. Elle respire la campagne, blonde, plantureuse. Maquillée comme une pute. Non, ce n’est pas une pute, juste une fille du coin qui croit encore que le maquillage donne de la classe. Elle n’a rien compris. Mais de toute façon ce n’est pas ce qui intéresse les garçons, ces jeunes militaires, 18/19 ans au maximum. Il suffit d’un coup d’œil pour comprendre l’objet de ce repas.
    
    Mon sauveur arrive. Une autre classe. D’un regard il s’excuse déjà des blagues douteuses, des gestes déplacés envers la fille. Au fait, elle s’appelle « Rose » ; eh oui, cela ne s’invente pas. Dès que le repas est terminé, je m’éclipse dans la chambre prétextant une fatigue. Il est évident que tous attendent mon départ. Seul, peut-être, mon sauveur me voit partir avec regret. Il est plutôt beau gosse et l’uniforme lui va bien.
    
    Les femmes sont curieuses, c’est connu. Aussi je m’installe pour regarder ...
    ... par le trou de la serrure. La porte de ma chambre donne sur le salon, plus exactement vers la cheminée avec ses fauteuil et canapés défraîchis qui lui font face. Je ne suis plus une oie blanche, les années de révolution sexuelle sont passées par là, mais une partie à quatre m’intrigue. Elle doit avoir du tempérament la bouseuse pour assurer avec quatre gaillards en pleine possession de leurs moyens.
    
    Mon départ a servi de déclencheur, comme une envie retenue si longtemps par convenance. En un instant la charmante assemblée bascule. Les vêtements disparaissent comme par enchantement et quatre gaillards le sexe déjà turgescent font face à ce qui pourrait sembler une faible jeune fille. Ils sont à la parade et c’est presque drôle de voir ces quatre queues au garde-à-vous devant l’objet de leur désir. Ce n’est même pas une vraie blonde. Sa toison, véritable forêt vierge, la dénonce. Brune, désespérément brune, elle est.
    
    Ils s’en foutent. Tout ce qui les intéresse ce sont les lèvres et les mains de la femme. Elle passe de l’un à l’autre. Elle se donne du mal. On voit bien qu’elle aime cela. Je suis sûre qu’ils ne la rétribuent même pas. Ils profitent. Elle, peut-être, pense qu’elle pourrait sortir de sa condition de bouseuse pour suivre un de ces garçons et enfin quitter la ferme pour un appartement en ville et un mari assez riche pour lui payer la télé et des vacances.
    
    Elle se donne à fond. Les sexes sont superbes, luisants de salive. Elle les suce, gorge profonde, astique, ...
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