1. Toussaint, fête de tous les seins ?


    Datte: 31/07/2020, Catégories: grp, uniforme, campagne, autostop, Oral double, Partouze / Groupe confession, occasion, Auteur: RobertAnne92, Source: Revebebe

    ... pièce. Rose a un air dédaigneux. Je suis le vilain petit canard, parisien en plus. Je soutiens son regard, d’ailleurs ses amants la ramènent à la réalité. Je suis maintenant aux premières loges et, comme les deux hommes qui ont déjà jouis, je regarde les deux sexes avancer de concert dans la femme.
    
    Je sais, aujourd’hui, tout le monde a eu l’occasion de voir ce genre de scènes, au cinéma, dans les revues, cassettes, et bien sûr en gros plans et en détail sur les sites de cul du Net. Mais je peux vous assurer que vers les années 70, cela ne se trouvait pas sous le sabot d’un cheval.
    
    Je reconnais que j’ai été fascinée par ce trio qui manifestement n’en était pas à son coup d’essai. Chacun jouait de son instrument mais, comme si un chef d’orchestre était présent, une certaine harmonie se dégageait. Enfin, quand je dis harmonie, je pense, sensualité, érotisme, sexualité. Sans m’en rendre compte ma main retrouvait le chemin de ma chatte et c’est le regard de mon sergent qui m’en fait prendre conscience. Car, il me regarde et me sourit. J’ai dépassé le stade de la pudeur, après tout je suis à poil, comme tout le monde dans cette pièce.
    
    Mais la sensualité se transforme en bestialité. Tous trois semblent devenir fous. Chacun tire à hue et à dia pour atteindre la jouissance. Les queues poussent avec une telle force que Rose doit s’accrocher. Ils jouissent. Des cris, surtout la femme. Extravertie, elle clame son plaisir, en demande encore, veut qu’ils la baisent, qu’ils ...
    ... crachent, etc. Quel langage ! C’est le genre de fille que tout le monde connaît, dans un village. On la montre du doigt, car elle ne se cache pas, mais les hommes sont bien contents de la trouver.
    
    Enfin, tout s’apaise. Les corps se libèrent. Chacun va s’asseoir, Rose à mon côté. Des serviettes circulent. Les sexes gluants sont essuyés, Rose enlève de sa figure des restes de sperme, puis de sa chatte et de sa raie des fesses. Des cigarettes sont proposées. Tout le monde fume, autre époque. Quelqu’un met de la musique en sourdine. Une voix demande.
    
    — Café ?
    
    Quatre mains se lèvent. Quel étrange spectacle de ces quatre, non cinq, personnes en train de se faire des politesses avec le café et le sucre. Nous n’avons que nos fourrures naturelles pour cacher, si peu, nos intimités.
    
    — Marc ou Ratafia ?
    
    Un homme fait le tour avec les spécialités du coin. Rose et moi choisissons le Ratafia. C’est un alcool sucré mais traître car il se boit comme de l’eau mais titre 40/45°. En tant que Bourguignonne, je connais bien. Les doses sont généreuses, presque la demi-tasse.
    
    — Cul sec.
    
    Tout le monde vide son verre d’un trait. Je suis bien obligée de faire pareil. Une nouvelle tournée est servie. Je refuse ce deuxième tour, mais ma voisine me chambre, en lançant à la volée.
    
    — La parisienne ne tient pas la distance. Sûrement qu’elle préfère le « scotch ».
    
    C’est dit d’une telle façon que je suis piquée. Je réponds en tendant ma tasse.
    
    — La parisienne s’appelle Martine, elle est ...
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