1. Vengeance d'une veuve bafouée


    Datte: 13/04/2018, Catégories: fh, fhh, fplusag, uniforme, voiture, vengeance, Oral préservati, pénétratio, Partouze / Groupe confession, Auteur: RobertAnne, Source: Revebebe

    ... chandelle noire me brûle avec délice, ouvrant des régions que ta queue maritale n’a jamais pu découvrir.
    
    Ma vengeance est peut-être dure pour toi mais elle est, ô combien, douce et j’ai le regret furtif d’avoir été une femme fidèle alors que j’aurais pu connaître ce bonheur avant.
    
    Voilà, je me la suis mise bien profond, comme on peut lire dans certaines revues que tu laissais traîner dans ton atelier. Ces lectures t’ont peut-être échauffé le sang mais moi, c’est ma chatte qu’il faut refroidir. Je me brûle de l’intérieur. Je n’ai qu’une envie, me baiser avec le mandrin.
    
    Monter, descendre, voilà un exercice que tout le monde adore faire dans ces conditions. Je ne suis pas différente des autres et je m’y applique, toute entière tournée vers mon propre plaisir. Mais je sais que derrière moi, un autre animal piaffe d’impatience. Je tourne la tête et l’invite dans un langage si cru que ma mère doit s’en retourner dans sa tombe.
    
    — Viens. Prends-moi par derrière. Encule-moi. Mais va doucement.
    
    Les vieux amortisseurs de la voiture transmettent son approche. Je m’allonge sur John, le visage contre sa poitrine où j’y retrouve ses tétons tentateurs.
    
    Mais pour l’instant c’est mon cul qui se rappelle à moi. Mon petit trou que je sens humide de la salive que l’homme y étale en glissant un doigt pour l’assouplir. Il est doux mon futur enculeur. J’aime la façon délicate dont il s’essaie à en ouvrir l’orifice un peu plus, poussant un deuxième doigt dès que le premier ...
    ... s’ennuie. Il peut y aller sans crainte. Mon cul a depuis longtemps perdu sa virginité. Paul s’y est tout de suite intéressé et je ne compte plus les fois où il m’a enculée ou engodée avec souvent ma chatte prise en même temps. Je ne me suis jamais plainte de ce traitement. J’aimais cela, mieux : j’en redemandais.
    
    Tu entends, mon coureur de mari, j’aimais cela. Mais bien sûr tu le savais. Tu savais que j’aimais que tu me prennes par les deux trous. J’adorais sentir ta queue dans mon cul qui bataillait avec le gros godemiché en bois poli que tu m’y avais mis. Alors pourquoi aller en voir d’autres. Tu sais, j’aurais accepté que tu me ramènes une de ces femmes à la maison pour la baiser devant moi. Au moins, j’en aurais profité. Peut-être qu’une m’aurait initiée aux plaisirs lesbiens. Et pourquoi pas un couple. Tu étais jaloux à ce point ? Nous aurions pu profiter ensemble et peut être que tu serais encore avec moi, alors que là…
    
    Oui, là ce n’est pas ton sexe qui pousse à la porte, force le passage que le sphincter refuse alors qu’il a pourtant si souvent cédé.
    
    Ce n’est pas ton sexe qui avance en catimini mais qui bientôt rencontre un locataire déjà en place et qui ne compte pas céder le moindre espace. Ils bataillent et je le sens au plus profond de ma chair, mais chacun y met du sien. Doucement les négociations avancent, avec quelquefois des reculades ou des intimidations, mais en fin de compte, la paix est signée. Je suis prise du con et du cul, et c’est bon ces deux bites ...