1. Vengeance d'une veuve bafouée


    Datte: 13/04/2018, Catégories: fh, fhh, fplusag, uniforme, voiture, vengeance, Oral préservati, pénétratio, Partouze / Groupe confession, Auteur: RobertAnne, Source: Revebebe

    ... chemise. Chaque bouton est un plaisir. Chaque centimètre de peau ainsi libéré me laisse découvrir ce torse musclé et sombre, de ce noir qui tranche avec la blancheur de la chemise et mes mains qui partent à la découverte.
    
    Voilà, tous les boutons sont défaits, même ceux des poignets. Il ne me reste qu’à tirer la chemise pour la sortir du pantalon et, en m’approchant presqu’au contact, je glisse les mains sur ses épaules, partant du cou jusqu’aux biceps pour pousser la chemise qui tombe au sol.
    
    John ne bouge pas, ne dit rien. J’imagine que je ne suis pas la première à le dénuder ainsi. Les femmes doivent se bousculer.
    
    J’hésite un instant mais mes mains décident pour moi. Elles viennent flatter ces pectoraux d’athlète ou je découvre des tétons très marqués, presque aussi développés que chez une femme.
    
    Je fais alors ce que jamais je n’ai fait de ma vie, je viens sucer ces deux pointes comme un homme ou une femme vient téter ceux d’une femme.
    
    Il frémit. Je suis heureuse d’avoir réveillé cette statue de muscles en jouant sur sa partie de féminité.
    
    Le reste se fait naturellement. Comme je bataille avec sa ceinture, c’est lui qui défait la boucle, me laissant le plaisir de continuer. Le pantalon lui tombe sur les chevilles. Pour le shorty, qui moule maintenant la récompense de mes efforts, je dois utiliser les deux mains afin de le tirer vers le bas sans blesser le mât qui en sort.
    
    Il bande et j’en suis fière. En me baissant pour faire glisser le slip jusqu’aux ...
    ... chevilles, mon visage se retrouve face à un objet de rêve. La vieille que je suis fait bander ce garçon comme j’ai fait bander son collègue. Je ne connais pas de meilleur élixir pour une femme de mon âge, qui plus est, vient de perdre son mari, même si elle ne lui a pas pardonné ses nombreux coups de canif au contrat de fidélité.
    
    Si je suis responsable de l’érection, c’est la nature qui a fait ce membre si beau et imposant. J’ai lu si souvent des récits de femmes ayant eu des aventures avec des hommes de couleur et qui vantaient leur vigueur et leur queue toujours dressée, que j’en avais rêvé. Rêvé, j’imagine comme beaucoup de femmes mûres que leur mari néglige, ou petitement monté, ou « bandant mou » et qui n’osent pas passer le pas de l’adultère et encore moins d’essayer avec ces hommes d’un autre continent.
    
    En tout cas, moi, j’en ai une juste là. À portée de main. À portée de bouche. À portée de…
    
    Elle a un goût fort et prononcé. Pas désagréable mais résultat d’une journée de travail et de chaleur. Pendant que ma langue teste par petites touches la variété de la texture, du gland totalement dégagé de toute protection à la hampe plus rude et granulée, je mesure de mes mains la taille de l’engin. Paul et même mon amant de tout à l’heure peuvent aller se rhabiller. Ça, c’est de la queue, de la vraie bite de mâle, de celle dont les femmes, de la jeune fille, à la vieille en maison de retraite rêvent ou en ont rêvé.
    
    Je m’applique, essayant de faire de mon mieux. Je ne ...
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