1. Vengeance d'une veuve bafouée


    Datte: 13/04/2018, Catégories: fh, fhh, fplusag, uniforme, voiture, vengeance, Oral préservati, pénétratio, Partouze / Groupe confession, Auteur: RobertAnne, Source: Revebebe

    ... et, à soixante balais bien tassés, la machine ne redémarre plus comme avant.
    
    Et un beau soir, les gendarmes sont venus frapper à ma porte. Un coup de téléphone anonyme les avait prévenus qu’un homme semblait mal en point dans une voiture, au bout d’un chemin de forêt. Il était mort, emporté par une crise cardiaque que le médecin, après autopsie – eh oui, j’ai même eu droit à cela – a déclaré foudroyante. Il était à poil dans sa voiture. J’imagine qu’il est mort en pleine action et j’espère que la pétasse qui était avec lui l’a bien senti passer.
    
    Mais, le pire, c’est que les gendarmes, n’avaient pas fait le ménage dans la voiture lorsque j’ai pu la récupérer. Et dedans, j’ai trouvé ses fringues, des capotes vierges et une usagée avec, j’imagine, sa sauce dedans. Le pire, c’est que j’ai trouvé un slip et un soutif. La nana a eu tellement peur qu’elle est repartie sans sa lingerie. Vous comprenez pourquoi je porte ce type de sous-vêtements ? Ce sont les siens. Je sais, c’est glauque, mais c’est ma vengeance. Je veux que de là-haut, il puisse me voir porter les derniers dessous qu’il a vus.
    
    Salaud. Salaud. Salaud. Et pourtant, nous avons eu de bons moments et je t’ai aimé… Mais c’est une autre histoire.
    
    Je m’effondre dans un fauteuil après avoir enlevé cette satanée veste. Son whisky favori traîne encore à portée de main. J’attrape la bouteille.
    
    — À ta santé, Paul.
    
    Et je m’envoie deux rasades.
    
    Je fais la maligne, la méchante, la veuve joyeuse, mais je n’en ...
    ... mène pas large. La nostalgie arrive, les larmes suivent, je noie mon chagrin dans l’alcool. Veuve joyeuse et alcoolique. Parfait tableau.
    
    J’ai dû m’endormir, des rêves peuplés de femmes qui défilent dans cette satané voiture, de seins blancs, de chattes poilues et du sexe que j’ai tant aimé et que j’aurais voulu sentir encore se glisser en moi, devant, derrière, entre mes lèvres.
    
    Je sais que je suis réveillée, mais refuse d’ouvrir les yeux, troublée par ce que j’ai rêvé, et surtout de toute cette tension accumulée. Je glisse ma main sous ma jupe, passe la barrière symbolique de ce string qui m’écrase la chatte et me caresse doucement, découvrant ma fente humide et mon bouton bien en fleur.
    
    — Hum ! Hum !
    
    Je sursaute, ouvre les yeux. Un grand gaillard est à quelques pas, la poignée de la porte encore dans une main, une boîte dans l’autre.
    
    — Excusez-moi.
    
    Je me lève, tire sur ma jupe pour reprendre de la contenance. Un espoir. Peut-être n’a-t-il rien vu, encore ébloui par le soleil en entrant dans cette pièce sombre.
    
    — Mais, ça va pas, on ne rentre pas chez les gens comme cela. Vous auriez pu frapper.
    — Je m’excuse, mais j’ai frappé plusieurs fois et comme votre voiture était là, je suis entré. J’ai l’urne.
    
    L’urne. Merde. J’avais oublié. Les cendres ! Il me ramène les cendres. C’était prévu, je n’ai juste pas vu le temps passer. Je le reconnais, c’est le chef du groupe. Ils étaient cinq, cinq « croque-morts ». Grands, dignes, sérieux, de vrais pros.
    
    — ...
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