Vengeance d'une veuve bafouée
Datte: 13/04/2018,
Catégories:
fh,
fhh,
fplusag,
uniforme,
voiture,
vengeance,
Oral
préservati,
pénétratio,
Partouze / Groupe
confession,
Auteur: RobertAnne, Source: Revebebe
... violence, m’allongeant et m’égratignant le dos sur l’urne, petite vengeance de mon défunt époux. Je m’agrippe de mon mieux. Il s’enfonce maintenant dans un pot de crème tellement je coule de plaisir.
Je jouis, véritable décharge électrique qui me tétanise. Mais lui ne s’arrête pas. Une deuxième fois le plaisir arrive, moins fort, mais plus long, plus doux, plus délicat.
Enfin mon baiseur donne des signes de précipitation.
— Donne. Donne ! dit la salope qui sommeille en moi.
Il s’extirpe de ma chatte, y laissant un grand vide. J’attrape sa queue brillante mais je bataille avec le latex qui étouffe le sexe gonflé. Enfin, la verge respire. Deux, trois petites branlettes et il gicle son jus que je dirige sur moi, éclaboussant ma poitrine et mon ventre de cette liqueur d’homme, à la fois épaisse et liquide mais d’une blancheur de crème fraîche.
Je garde sa bite entre mes doigts, la laissant se détendre lentement pour l’abandonner enfin, entre ses cuisses.
Nous méritons bien une goutte de whisky. Je pense alors que je suis irresponsable de faire boire cet homme alors qu’il est en voiture. Je vais lui dire, mais au moment où j’ouvre la bouche, un coup de klaxon retentit.
— Merde, j’ai oublié mon collègue.
— Comment ? Quelqu’un attend dans la voiture. Ce n’est pas toi qui conduis ?
C’est la première pensée qui me vient à l’esprit et qui me rassure. La deuxième est qu’heureusement l’homme ne soit pas venu pour nous surprendre.
— Oui, c’est John.
— John ...
... ?
— Mais oui, tu l’as sûrement remarqué, il est noir et baraqué. Il était à la cérémonie.
— Ah. John. Bien sûr. Mais j’ajoute, curieuse. Celui de « Lyon » ?
Une idée folle me traverse l’esprit. Je la chasse. Elle revient, se développe. Je la chasse à nouveau. On dirait un combat entre deux esprits, le sage et le démon.
— Appelle-le. Dis-lui de venir.
Il me regarde.
— Tu veux que je l’appelle ? Et, détaillant nos corps nus : comme cela ?
Dire « oui » est peut-être au-dessus de mes forces, aussi je hoche la tête.
— John ! Tu peux venir, appelle mon amant d’un instant, alors qu’il ouvre la porte et se penche pour ne laisser passer que sa tête.
Lorsqu’il entre et nous découvre, John sourit, même pas surpris. Je me demande s’il n’est pas venu aux nouvelles, ne voyant pas son collègue revenir, et qu’il nous a vus en pleine action.
Mon amant s’est assis dans un fauteuil, me laissant le champ libre. Il est vraiment baraqué, c’est vrai, maintenant que John est juste à côté de moi. Car je me suis approchée, consciente que si je n’agis pas tout de suite, sans vraiment réfléchir, je vais reculer.
Je fais alors, ce que toute femme qui en a rêvé ou fantasmé sans jamais oser le faire, ou n’a pas eu l’occasion de le faire, je déshabille cet homme en costume sombre que la chaleur n’a pas semblé atteindre.
Moi, la femme mûre, nue, encore marquée par les traces de sperme de mon amant, j’enlève la veste, dénoue le nœud de cravate parfaitement symétrique et attaque la ...