1. Vengeance d'une veuve bafouée


    Datte: 13/04/2018, Catégories: fh, fhh, fplusag, uniforme, voiture, vengeance, Oral préservati, pénétratio, Partouze / Groupe confession, Auteur: RobertAnne, Source: Revebebe

    ... Posez-la sur la table.
    
    Il s’exécute.
    
    — Et, excusez-moi, mais vous m’avez surprise. Je somnolais et je n’ai rien entendu.
    — Ce n’est pas grave. Je suis juste désolé de vous avoir surprise dans cette… Je veux dire de vous avoir fait peur.
    
    Il m’a vue en train de me caresser, c’est sûr. Merde.
    
    Mais après tout, je suis chez moi et je n’ai de comptes à rendre à personne.
    
    — Asseyez-vous, vous allez bien me tenir compagnie.
    
    Et sans attendre sa réponse, je vais chercher deux verres.
    
    — Je ne voudrais pas vous déranger…
    — Oh, vous savez maintenant plus rien ne peut me déranger.
    — Madame, je comprends. Je vous prie d’accepter mes condoléances.
    — Je vous en prie. Ai-je l’air d’une veuve éplorée ? J’imagine que tout le monde est au courant.
    — C’est-à-dire.
    — Allons. Dites-moi plutôt ce qui se dit sur moi.
    — Madame…
    — Et la pétasse qui était avec mon mari ?
    
    Il sourit.
    
    — Je suis sûre que vous savez qui c’est.
    — Madame. Voyons, je ne peux pas dire…
    — Donc vous savez !
    — Nous sommes une petite collectivité. Écoutez, je veux juste vous dire que vous les avez « bluffés », votre tenue, votre dignité. Par contre, j’en connais une qui était dans ses petits souliers.
    — Parce qu’elle était là ?
    — Bien sûr. Tout le monde savait que c’était elle qui était avec votre mari. Mais, je veux aussi vous dire qu’il est mort sur le coup et qu’elle n’a rien pu faire. Elle est infirmière, alors…
    — Donc elle était là…
    — Bien sûr, et avec son mari.
    — Son mari ?
    — Oh, ça a ...
    ... dû barder dans le ménage. Elle a bien été obligée de lui dire. Elle était à pied et c’est lui qui est venu la chercher. On dit que c’est une voix d’homme qui a prévenu la gendarmerie.
    
    Mon interlocuteur semble gêné de ses aveux. Il ne me regarde pas dans les yeux, son regard est fuyant. Merde, j’ai complètement oublié. Mon chemisier transparent. Le soutif de l’infirmière qui doit gonfler mes seins. Je ne vais tout de même pas lui avouer cette vengeance tordue.
    
    Non, je fais mieux, je détourne son regard. Il me suffit de légèrement écarter les cuisses, ses yeux sont des radars à la poursuite d’une cible improbable.
    
    — Vous avez un métier bien éprouvant, dis-je pour couper cette conversation sur la maîtresse de mon mari.
    
    Il semble revenir à lui.
    
    — Vous devez en voir des femmes pour qui la perte de l’être cher est une épreuve et qui sont détruites.
    — Bien sûr. Mais c’est très varié. Certaines ne peuvent plus rien attendre de la vie. D’autres se sentent libérées.
    — Ah… et vous me classez dans quelle catégorie ?
    — Madame, je vous en prie. Vous êtes belle, digne et je connais nombre d’hommes qui ne demanderaient qu’à…
    
    Il s’arrête, conscient qu’il a peut-être été trop loin. Je l’aide.
    
    — Racontez-moi la plus surprenante cérémonie que vous ayez conduite. Tenez, prenez un autre verre, moi j’ai besoin d’un remontant.
    — Les cérémonies sont toutes identiques, mais parfois…
    — Parfois ?
    — Non, j’exagère, une fois.
    — Allons, allons, ne vous faites pas prier.
    — Vous ...
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