1. Vengeance d'une veuve bafouée


    Datte: 13/04/2018, Catégories: fh, fhh, fplusag, uniforme, voiture, vengeance, Oral préservati, pénétratio, Partouze / Groupe confession, Auteur: RobertAnne, Source: Revebebe

    ... ne le répéterez pas ? Promis ?
    — Sur la tête de mon mari.
    
    Nous rions.
    
    — Voilà, c’était à Lyon et on venait pour un transfert. J’étais seul avec la veuve, devant le cercueil qui avait été scellé par le commissaire. Elle commence à se coller à moi tout en défaisant ma ceinture de pantalon. Je recule, Elle avance :
    
    La femme est belle, un peu comme vous, mais plus provocante dans sa robe noire qui la moule. Je me laisse faire. Elle défait ma ceinture, descend pantalon et slip et me fait le pompier de ma vie. Pour vous le lieu peut paraître étrange mais pour moi, c’est un environnement quotidien. Elle me suce si bien que très vite, excusez-moi de ma vulgarité, je lui rince les amygdales et elle ne se prive pas de bien me boire.
    
    Je pense que c’est terminé mais elle enlève sa robe, elle ne porte rien dessous, et me demande d’appeler un collègue. Plus tard, je saurai que le couple était un couple échangiste et que le mari avait écrit sur son testament ce genre de vœupost mortem. Mais manifestement la femme exécute sans rechigner. À l’arrivée de mon collègue, je ne vous dis pas sa tête en découvrant le spectacle. Elle lui dit :
    
    À l’époque, nous avions un jeune stagiaire. Il ne s’est pas fait prier, d’autant que la femme lui tendait une capote et lui tournait le dos. En deux secondes il était en elle. Le plus étonnant c’est qu’elle parlait à son mari pendant qu’il la baisait. Et « il est puissant », et « tu serais content », et « il va me faite jouir », ...
    ... etc.
    
    Quand il a eu terminé, elle m’a demandé d’appeler le suivant. Lui, c’est par le « cul », excusez-moi du langage, qu’il l’a prise. Toujours les mêmes conversations avec son mari, à la fois dérangeantes mais aussi excitantes.
    
    Puis elle m’a fait appeler les deux derniers et eux, ils ont eu droit à la totale. Ils l’ont prise par le con et par le cul et je ne suis pas certain que son mari ait tout compris quand elle à jouit, coincée entre mes deux gars, surtout que John, vous le connaissez, c’est le noir et il était à la cérémonie tout à l’heure, est très bien monté.
    
    — Eh bien vous faites un métier surprenant, dis-je.
    — Mais ce n’est pas tous les jours dimanche, vous savez. Souvent c’est bien plus triste, mais nous sommes blindés.
    
    Je change complètement de sujet.
    
    — Et vous êtes marié ?
    
    Il hésite mais répond.
    
    — Si vous me donnez un autre verre, je vous réponds.
    
    Il ne se prive pas de regarder mes seins et vers mes cuisses. Son regard me trouble, moi la vieille de soixante balais, flattée qu’un jeunot de trente ans me mate en douce. Il a l’air un peu parti, moi aussi d’ailleurs.
    
    — Pas actuellement. Cela fait un moment que je n’ai pas…
    — Comment vous dites les jeunes ? « Choper » ? Moi de mon temps, on disait baiser.
    
    Il rit.
    
    — C’est vrai.
    — Moi aussi, mon mari m’oubliait ces derniers temps.
    — Ah, c’est pour cela que vous vous caressiez quand je suis entré.
    — Tu as donc vu ?
    — Oui, c’était même très érotique.
    
    D’un seul coup il fait une chaleur ...
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