1. Quelqu éducation sentimentale


    Datte: 22/07/2020, Catégories: Anal Mature, Première fois Auteur: BAZOUK1, Source: xHamster

    ... toisais au contraire. A cela j'ajoutais un imperceptible déhanchement. Tout en démarche de garce. Ma supposée amie me fit observer avec dépit mon changement. Je me maquillais trop outrageusement. Mes jupes étaient si courtes.
    
    Je ne dédaignais plus de porter mes bas couture. Elle ne sut pas qu'en privé je pouvais adopter aussi le bas résille et autres lingeries acquis sur internet. En effet j'écumais maintenant des sites de rencontres où à bon compte je me débauchais et où on m'avait indiqué où me munir de ces dessous affriolants. Au début je vins à me contenter d'anodins strip tease sur Skype. J'y découvrais tous mes pouvoirs. L'excitation me portait chaque soir à aller faire la pute devant l'écran. L'ami-amant ne savait rien de cette dérive. Enfin j'acceptais un rendez-vous d'un internaute.
    
    Il s'agissait d'un de mes premiers admirateurs, vieux vrai pervers. Il fut convenu que nous fîmes respectivement cent kilomètres de route de part et d'autre. Nous devions nous rencontrer dans un motel. Qui plus est je devais venir attifée de telle façon et lui me rémunérer à un haut niveau. En gros j'assumais de me prostituer. Il me baisa durant trois heures. De maintes façons il devait m'humilier. En effet j’avais découvert que ma jouissance profonde passait par là. Il eût la délicatesse de me laisser un beau pourboire après qu'il eût une dernière fois éjaculé sur mon visage.
    
    Je n'en conservais pas moins l'ami-amant. Celui-ci parlait si bien la tendresse et l'amour. Je ...
    ... goûtais ce genre de musique. N’empêche je devenais plus putain de l'autre côté. Perverse j'adorais abuser mon monde et mener de front toutes ces multiples vies et identités. Sur un site je vins à sympathiser avec une autre bourgeoise qui avait connu le même parcours dont je devins amie jusqu'à partager avec elle le plaisir saphique. Je progressais de jour en jour. Je me souviens de ma première partouze dans un château mystérieux. On était fort loin du grand Meaulnes.
    
    Quelle jouissance d'être nue et affublée d'un simple loup sur le visage. Pêle-mêle tous ces corps me renvoyaient à ce subtil anonymat. Je n'étais que cul, seins et trous à pourfendre. Je faisais en sorte que mon mari ne sut rien de ces semblables escapades. Cependant nous avions eu une franche discussion. Il sut qu'à son imitation j'avais moi-même pris un amant. Il s'inclina me demandant seulement que les apparences de notre union bourgeoise fut conservée. Ainsi il m'adoubait. Je pouvais en toute licence coucher avec d'autres hommes. Nous imitions en cela tant de couples.
    
    L'assentiment roublard d'un mari ne m'autorisait pas pourtant à faire n'importe quoi. Plus d'une fois passais-je les bornes. Je concevais que le frôlement du danger ajoutait à la jouissance. Le précepte : il faut vivre dangereusement a été fatal a plus d'une. Notamment un soir avec deux amants vins-je à céder à l'un de leurs caprices. Ils m'emmenèrent au bois où sévissaient clients et prostituées. Je dus feindre le métier. J'eus à cet égard un ...