1. Quelqu éducation sentimentale


    Datte: 22/07/2020, Catégories: Anal Mature, Première fois Auteur: BAZOUK1, Source: xHamster

    ... ce que je me reprenne. Il ne m'en invita pas moins le lendemain à déjeuner.
    
    Il fut remarquable jusqu'à aller défendre mon mari ce qui ne laissa pas de me surprendre. Tout en admettant sa faute, il me dit que mon «perfectionnisme » avait nuit quelque part à mon couple. Trop de rectitude nuit. On doit pardonner et prendre en compte toutes les faiblesses de la chair.
    
    Curieusement ces réflexions rejoignaient les miennes. La colère passée j'avais du considérer que j’avais mené fausse route et que je n'avais jamais pris en considération autrui. Tant pour mon mari que pour mes enfants je m'étais perdue dans une représentation idéale et chimérique d'eux-mêmes. Quand on méconnaît la réalité, celle-ci se venge. J'avais reçu le coup de pied de l'âne. Je dus convenir que mon humiliation procédait principalement d'une blessure d'amour propre. Bref tout avait été remis dans une plus juste proportion. Le sourire même revint.
    
    L'ami fit si bien que j'acceptais de dîner voire d'aller avec lui à une pièce de théâtre. Il savait mes goûts. Il m'incitait à n'y pas renoncer. Il voulait être mon sigisbée. Il me porterait le temps nécessaire pour surmonter cette épreuve. Il m'enjoignit d'abandonner les tons austères de mes vêtements. Pour lui j'admis de raccourcir plus mes cheveux. Une femme sait se rajeunir à bon compte quand elle le veut. Prise dans ce nouveau tourbillon, je reléguais ce mari décevant pour accueillir une nouvelle vie et le charme d'un nouveau compagnon.
    
    Enfin ce ne ...
    ... fut pas une surprise quand il écrasa un baiser sur ma bouche sur un siège de ciné. Le film que nous regardions invitait à cela. Depuis quelque temps j'avais pressenti qu'une nouvelle femme voulait émerger de moi tel le papillon au sein de sa chrysalide. J'étais à la fois fascinée et terrorisée d'une telle métamorphose. J'étais tentée de renouer avec mon ancien moi. L'inconnu que recelait mon avenir me troublait. Je renâclais ainsi au laisser-allez préconisé par mon nouvel ami. Ces désirs longtemps réprimés menaçaient de me submerger. Je dus me faire ce cruel aveu.
    
    Peu de temps après je pris le prétexte d'une pléthore de champagne pour céder tout à fait et passer quelques heures dans son lit. J'eus honte car il était marié et je n'avais pas eu de scrupule à coucher avec lui sous son toit en l'absence de sa femme. J'infligeais à l'absente ce que j'avais moi-même subi. Je ne fus pas peu étonnée de ma perversité. Je n'avais pas protesté de pareilles circonstances. Je réitérais même une fois. Je n'ai jamais autant joui. Il baisait bien. Mieux que mon mari. En sotte je découvrais mon incurie en ce domaine. Le sexe n'était donc point un vain mot.
    
    Ce fut mon premier amant. Il réunissait toutes les qualités. Outre d'être remarquable au lit, il m'offrait une oreille délicate et attentive. Sorte d'ami-amant idéal. Cependant il avait comme ouvert la boite de Pandore. Je regardais autrement les hommes. Je n’affectais plus de baisser les yeux lorsque ceux-ci me regardaient. Je les ...