1. Petite robe noire à l'hôtel Lutétia


    Datte: 19/07/2020, Catégories: fh, prost, hotel, collection, fsoumise, hdomine, revede, noculotte, Oral Auteur: ÉlodieParis, Source: Revebebe

    ... m’avait deviné et avait bien ressenti l’effet de m’avoir appelé salope et non pas pute alors qu’il me payait ou cochonne. J’étais une princesse, un ange, une belle femme, pure et terriblement salope. Je vivais un rêve éveillé. Mes lèvres s’écartèrent pour que sa queue entre dans ma bouche. Ma langue et ma chaleur humide la plus intime l’accueillit. Il me possédait enfin. J’étais sienne.
    
    Sa queue avait la dureté et la force de son caractère, la douceur de son élégance et la taille de son ego. J’imaginais déjà cette queue entre mes cuisses, mais là c’était ma gorge qu’il prenait. Et de quelle mâle façon ! Ses mains fermes guidaient les allées et venues de ma tête qui se faisait de plus en plus légère sous la force de ses mains. Rapidement de la bave sortit de ma bouche et je n’avais plus le contrôle de ma respiration.
    
    — Avale ma queue, petite salope, avale.
    
    Le mot salope envahit tout mon esprit. Ces mains m’obligeaient à aller et venir, de plus en plus vite, de plus en plus profond. J’étais perdue, totalement hors contrôle. Il baisait ma gorge avec une force de plus en plus progressive. Je n’avais jamais connu cela. Il tenait fermement mes cheveux, m’imposant son rythme. Il aurait pu voir la peur dans mon regard s’il n’y avait pas ce foulard. Je n’étais plus qu’une poupée dans ses mains, son objet sexuel. Ma tête faisait des allers et retours rapides, ma mâchoire était écartelée et son gland venait taper dans mes amygdales. Je n’arrivai ni à vomir ni à ...
    ... respirer, mais des râles sortaient de ma bouche. De râles de plaisir. Des râles de petite salope. Je crois bien que mon sexe était en spasme. Des sucs giclaient un peu partout quand enfin il stoppa tout, manquant de m’arracher des cheveux.
    
    — Garde tout en bouche, petite salope ; tu m’entends, garde tout en bouche.
    
    Son gland était juste à l’ouverture de mes lèvres, et de là jaillirent quatre ou cinq giclées de sperme chaud qui envahirent mon palais. Jamais aucun homme ne m’avait demandé de garder sa semence en bouche. J’étais presque déçue que ce rythme imposé s’arrête pourtant j’avais eu si peur de mourir étouffée. La crampe dans mon bas-ventre me confirmait que j’avais bien joui tandis qu’il baisait ma gorge. Ma bouche pleine de son sperme chaud, j’étais bien la petite salope que je pensais être et bien plus encore.
    
    Il m’invita à me lever et à l’embrasser. Je crois bien que jamais je n’avais embrassé un homme avant autant de liberté, de plaisir et d’envie. Ce fut mon baiser du siècle, celui d’une femme dingue de son homme, prête à tout pour lui, absolument tout. Je voulais ses bras, sa force, sa protection, sa prestance, son énergie, sa chance. Nos salives dans ce baiser, son sperme, tout était incroyable. Je sautais dans ses bras, plaçant mes petites cuisses autour de ses hanches. Ses mains vinrent soulever mon petit cul, j’étais aux anges et notre baiser dura une éternité. Je ne voulais pas qu’il s’arrête, mais visiblement il aimait bien me frustrer. 
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