1. Petite robe noire à l'hôtel Lutétia


    Datte: 19/07/2020, Catégories: fh, prost, hotel, collection, fsoumise, hdomine, revede, noculotte, Oral Auteur: ÉlodieParis, Source: Revebebe

    ... whisky, cinquante balles ! « Gardez la monnaie ».
    
    Il me précéda, prenant bien soin de marcher quelques pas devant moi, sans me parler, me laissant gérer mes sacs, comme si nous n’étions pas ensemble. Je compris pourquoi il faisait cela, car il regardait les caméras de sécurité qui filmaient un peu partout. Des images du vieux filmPretty Woman rebondirent dans ma tête, sauf que je n’étais pas une pute. Mais que font ces femmes à leurs meilleurs clients pour les rendre fous ? Il me faudrait être la petite salope que j’avais tant rêvé d’être. Je voulais gagner l’Oscar de la meilleure consœur. Je fondais sur place sans réaliser ce que je faisais.
    
    L’ascenseur nous conduisit à l’étage privilège et il me fit rentrer dans sa suite. Ce n’est qu’une fois la porte fermée qu’il me parla enfin.
    
    — J’ai laissé un cadeau pour vous dans la salle de bain. Je vous attends.
    
    Mon cœur battait à tout rompre. Je suivis la direction qu’il me pointait. Il me regarda de haut en bas de face et de dos me scannant de façon terriblement animale. J’avais suscité chez lui une envie qui était toute réciproque.
    
    — Gardez votre robe magnifique, mais soyez nue dessous.
    
    Cet ordre était formidable. Ma robe était sublime à tomber. Une fois la porte de la salle de bain refermée je jetai un œil sur mon cadeau. Une enveloppe avec au moins mille euros. Voilà que j’allais être payée pour que James Bond me fasse l’amour ! Que demander de mieux ?
    
    À côté de l’enveloppe un paquet de préservatifs XXL ...
    ... extra fins sans latex, la marque probablement préférée de Monsieur, tendance très chère et élitiste. Cela tombait bien, car je n’avais rien de ce type dans mon petit sac à main.
    
    Je portais déjà ma robe sans soutien-gorge alors il ne me fallut pas plus d’une minute pour quitter mon petit shorty bien mouillé, mes chaussures et me faire belle. Mon corps avait lancé une production intensive de cyprine et mes jambes tremblaient.
    
    Sans mes chaussures, je ne sentais encore plus petite face à sa carrure imposante. Je lui envoyai dans mon regard et dans ma démarche tout ce que j’avais de félinité. Je ne faisais chatte. Une belle bosse sous son costume me confirma l’effet que je lui faisais. Cela me rassura. Il avait retiré sa belle cravate élégante, entre le classique éternel et la petite touche moderne. Ses chaussures Berlutti avaient été sagement rangées sur le côté avec chaussettes pliées à l’intérieur. Il tenait un ruban de soie dans ses mains et il m’invita à me retourner pour me le passer.
    
    — Élodie, vous êtes sublime.
    
    Je sentis mes joues rougir de plaisir. Son portable sonna, probablement Élodie qui le cherchait. Il l’éteignit en s’excusant sans même regarder qui cherchait à le joindre. Je me remis à respirer.
    
    — Je vous laisse ajuster ce foulard pour que vous ne voyiez rien. J’aime bien décupler le plaisir de vos sens.
    
    Ce gentleman savait parler aux femmes. Je me blottis contre lui frôlant sa queue tendue. Je dégageai mes cheveux, lui dévoilant mon petit cou, pour ...
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