1. Petite robe noire à l'hôtel Lutétia


    Datte: 19/07/2020, Catégories: fh, prost, hotel, collection, fsoumise, hdomine, revede, noculotte, Oral Auteur: ÉlodieParis, Source: Revebebe

    ... purent ainsi parcourir tout le haut de son corps, découvrant lentement la fine musculature de son dos, de son cou, de son torse, de ses abdos. Mes lèvres partirent faire ce que les putes font, effleurer les tétons de mon client, les mordiller. J’avais lu cela et n’avait jamais osé le faire craignant pour mon image de petite copine innocente. Mais là j’étais une autre femme, une consœur.
    
    L’attention apportée à ses tétons fit l’effet escompté. Du coup, engaillardie par mes initiatives mes doigts glissèrent vers sa ceinture. Je n’avais jamais osé défaire une boucle de ceinture de ma petite vie, mais là, aujourd’hui, j’étais une fille qui se devait de faire cela. Ses mains lourdes se posèrent sur mes petites épaules, m‘invitant à m’agenouiller à ses pieds.
    
    — Sucez-moi aussi bien que vous m’avez embrassé.
    
    Cet homme et ses compliments étaient merveilleux. Le sucer, je n’en demandais pas moins, voulant faire connaissance avec ce monstre qui allait me prendre. Je suis fascinée par l’anatomie des hommes qui reflète tant leur masculinité. Surtout la veine sur le côté gonflée de sang. C’est impressionnant. Sauf que là je ne voyais rien sous mon foulard, je ne pouvais que deviner, ce qui démultipliait mes envies. Féline comme jamais, je défis la fermeture Éclair et les boutons pour que son pantalon tombe au sol. À ma grande surprise, Monsieur était nu dessous, expliquant la forme généreuse de la bosse entrevue plus tôt. Monsieur était coquin. Connaissant son goût pour le ...
    ... respect de ses affaires, je pris le temps de déposer à tâtons le pantalon sur le fauteuil, pour éviter les plis. Il fallait que Monsieur soit tout beau pour son repas en soirée.
    
    — Cinq cents de plus si vous me sucez sans préservatif.
    
    Cela tombait bien, je ne me voyais pas mâchouiller un bout de plastique cancérigène. Nous en étions à deux mille, même pas le prix de sa suite pour la nuit. Où donc les gens allaient-ils chercher tout cet argent ? Un autre monde. Avait-il un jet privé ?
    
    Mes petits doigts tout froids découvrirent cette belle queue dressée en mon honneur. Je n’en étais pas peu fière. Et c’est tout en douceur que je partis en caresse et en effleurement à la découverte de l’engin. Ses mains se posèrent délicatement sur ma tête pour m’accompagner, Dieu que cela était doux et plaisant.
    
    — Oui, comme cela, c’est bon.
    
    J’adorais ses encouragements. Mes lèvres commencèrent alors leurs découvertes. Puis ses mains se firent un peu plus fermes pour me guider vers son plaisir. J’adorais cette prise en charge progressive.
    
    — C’est si bon, ma petite Princesse. Tu es un ange.
    
    Nous venions de basculer du vouvoiement à l’intimité du tutoiement. Ma petite langue chaude et pointue rentra en action pour faire son effet.
    
    — Je suis au Paradis. Tu es si belle.
    
    Ses mains sur ma tête se firent plus précises, m’invitant à le prendre dans ma petite bouche
    
    — Tu es si salope. Si pure.
    
    Cet oxymore me troubla comme jamais. Je voulais justement être celle-là. Cet homme ...
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