Le petit chien est mort
Datte: 17/07/2020,
Catégories:
f,
h,
fh,
inconnu,
gros(ses),
groscul,
Masturbation
nopéné,
mélo,
Auteur: Olaf, Source: Revebebe
... d’aucun artifice, d’aucun apprêt sophistiqué. Malgré ce qui vient de se dérouler, il nous suffit de puiser dans ces pulsions que nous repoussons habituellement dans le tréfonds de notre inconscient, de canaliser le formidable potentiel qui s’y cache, pour faire jaillir en pleine lumière ce que nous empêchons d’éclore.
Sandra reprend place dans son lit. Telle qu’elle se présente sous mes yeux, elle fait naître le désir entre mes reins. Le langage de son corps me touche, m’excite instinctivement. L’évidence de son désir provoque le mien. La simplicité et le naturel du don de soi libèrent de très animales pulsions. Cette femme sur laquelle je ne poserais sans doute pas les yeux en d’autres temps, cette femelle libérée de ses chaînes par la mort de son animal, cette incarnation du désir brut m’excite et fait bouillir mes sens dès l’instant où elle s’offre à moi.
Son regard gourmand sur ma virilité déployée finit d’abolir toute distance entre nous. Elle me fait de la place sur son lit, pose une main sur mon sexe pointé dans sa direction avant de m’attirer contre elle. Je la prends entre mes bras, tendrement. Petit répit sensuel avant le déferlement érotique.
Comme nos baisers sont agréables, comme nos caresses sont spontanées, comme nos élans sont doux, avant de devenir de plus en plus fougueux ! Longuement, nous laissons nos corps se parler. Mes hanches répondent à chaque ondulation de son bassin, mon ventre se délecte des vagues qui parcourent le sien, les muscles de ...
... mon torse massent ses seins au rythme de nos balancements.
Les yeux grands ouverts, nous observons la lente, mais irrésistible montée du désir chez l’autre, nous nous nourrissons des pulsations, des moiteurs, des incertitudes, des élans retenus puis enfin débridés, du plaisir intense que nos corps prennent à se chercher.
Les mains de Sandra vont et viennent sur mon dos et sur mes fesses. Elle sait d’instinct les endroits qui me troublent le plus. Je la soupçonne aussi de surveiller du creux de la paume ce qui se joue en moi. En accompagnant les basculements de mes hanches, elle perçoit mieux mes impatiences.
Elle pourra aussi sentir venir le moment où je vais me soumettre à l’impérieux besoin de plaisir qu’elle entretient de tout son corps, mais dont elle veut retarder le déferlement le plus possible.
Nous n’en sommes pourtant plus très loin. Déjà quelques caresses particulièrement habiles suffisent à me mettre hors de moi. Elle accepte cet hommage impétueux en souriant.
— Donne-moi le plus intime, le plus vivant de toi, maintenant !
— Cela suffira-t-il à chasser les ténèbres ?
— C’est le mieux que nous puissions faire.
— Comment te l’offrir ?
— Fais jaillir ta semence, inonde mon ventre et mes seins de ton jus de vie, fais-moi vivre dans ma chair l’instant où tu t’abandonnes au plaisir.
Chacun de ses mots ajoute à mon excitation. Sa main libre légèrement posée sur la mienne, elle m’accompagne dans ma recherche de la volupté. Je me redresse pour qu’elle ...