J'arrive chez Martine, ma tante. - Histoires de Sexe

J'arrive chez Martine, ma tante.

... oublier le reste. Ma tante revint.

— Je suis de retour.
— Et moi je suis toujours dans le bain, dis-je en haussant la voix pour pouvoir être entendu.

Je l’entendis s’approcher de la salle de bain.

— Aha, je vois que tu as succombé au plaisir du bain.
— Eh oui, j’admets que l’ambiance est vraiment apaisante.

J’eus un petit rire en pensant à mon livre, qui était en fait le sien.

— Bon, profites-en alors.

Et elle s’en alla dans sa chambre.

L’avantage des petits appartements est que l’on sait exactement où est chacun, et que l’on peut suivre tous les déplacements. Je l’entendis donc revenir.

— Euh, Alexandre. Je suis vraiment désolée, j’ai besoin de quelque chose dans la salle de bain.
— Pas de problème, dis-moi où c’est et je te le donne.
— Non non, tu ne trouveras pas. Je peux entrer ?

J’en déduisis que ce qu’elle cherchait devait être quelque chose d’intime et d’embarrassant. Mais je m’aperçus que cette situation insolite pourrait tourner à mon avantage.

— Oui, oui tu peux entrer, mais si tu pouvais fermer les yeux…
— Bien sur.

Elle ouvrit la porte doucement. Les yeux fermés elle devait être plus attentive à ses gestes. Elle avait les cheveux attachés en arrière, son t-shirt avait des auréoles au niveau du cou et dans le dos du fait de la transpiration, et son jogging était toujours aussi moulant. Le malin plaisir que je prenais à la regarder aller vers le placard à côté du lavabo où j’avais éjaculé… Ce plaisir était ...

... indescriptible.

— Tu sais, tu peux ouvrir les yeux quand tu regardes dans le placard.
— Ah oui ! Que je peux être bête des f…

Et elle fit tomber tout un étage du placard. Tout plein de boites jonchaient sur le sol. Heureusement rien de cassé.

— Et merd…
— Attends, je vais t’aider.
— Non, non ne te gène pas, répondit-elle en prenant soin de ne pas se retourner.

Je pouvais apercevoir l’embarras sur son visage grâce à un miroir qui m’était propice. Je sortis de la baignoire, pris une grande quantité de mousse que j’éparpillais sur mon sexe afin de le dissimuler, et allai l’aider.

— Dis donc, Alexandre, tu aurais pu prendre une serviette, dit-elle sans détourner l’œil de ses boites en les ramassant. Son commentaire s’appuyait sur le fait qu’elle ne m’avait pas vu prendre de serviette. Elle ne m’avait pas vu me mettre de la mousse non plus, et me croyait donc nu.
— Bah, pas besoin, j’avais la mousse.
— Quoi ?
— Eh bien, regarde.

Elle tourna la tête vers moi, me scanna de haut en bas en s’arrêtant sur mon bas ventre. Son visage rougit, mais elle se mit à rire.

— Eh bien toi alors, tu manques pas de ressources, dit-elle en détachant à regret son regard de la mousse.

Malgré son rire, j’avais bien vu son trouble, la faille. Connaissant son caractère, sa personnalité, je savais qu’elle était très mal à l’aise. Il restait à savoir si je pourrais en tirer profit.

— J’allais quand même pas te laisser tout ramasser.
— Merci, mais on se dépêche avant que la mousse ne ...