1. Caresses nocturnes


    Datte: 13/07/2020, Catégories: fh, fplusag, Humour Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe

    ... Cravvvvvachez mon bon ! Cravvvvvachez ! Piqqquez des deux !
    
    Elle repartait dans son délire verbal.
    
    Moi dans un délire sensoriel, je n’écoutais plus.
    
    Je la pistonnai de plus en plus rudement avec une amplitude de plus en plus importante. À chaque remontée, mon gland s’extirpait presque entièrement de sa vulve et replongeait en faisant des grands flchss. À chaque choc, contre ses fesses déchirées, mon pubis venait cogner son coccyx. La douleur due aux meurtrissures du matin s’éveilla. Cette douleur, me renvoyant à cette première troussée, aviva encore, si c’était possible, mes ardeurs. Mes mains, revenues sur ses hanches, les bloquaient, donnant ainsi plus de forces à mes pénétrations. Je n’étais plus qu’une bête haletante dont le seul but était de se vider dans ce doux réceptacle pour assouvir un plaisir trop grand.
    
    A ce rythme hallucinant, je ne tardai guère à décharger. Mais M-A en redemandait :
    
    — Ne t’arrrrrrrête pas ! Albbbbbbbéric! Enccccore !Addddddddddddddddddhémar ! Plus fffort ! Plus lllloin ! Plus prrrrrrrofond !
    
    Elle en oubliait mon nom et replongeait dans ses amants du passé. Je ne pouvais la laisser dans un tel état. Ma queue était toujours aussi raide. Comme le matin, mon éjaculation n’avait en rien diminué mon érection. Peut-être étais-je malade. Mais j’étais libéré d’un certain poids (!), et, pour la première fois, je me préoccupais du plaisir d’une partenaire. Plus à l’écoute de ses réactions, toujours en la pilonnant furieusement, j’envoyais ...
    ... mes mains à l’assaut de son dos, de ses seins dont je triturais les petits tétons gonflés, de son cou, de ses cheveux. En variant mes caresses, je l’amenai assez vite à la jouissance.
    
    Elle accompagna celle-ci d’un long feulement rauque. Puis comme vidée de toute énergie, elle s’écroula sur le matelas m’entraînant à sa suite.
    
    Je m’agitai encore quelques secondes sur son corps inerte pour atteindre moi aussi le nirvana. L’ivresse de l’amener au plaisir m’avait provoqué, au moment où son corps satisfait se détendait, une seconde jouissance plus jubilatoire qu’éjaculatoire.
    
    Nous restâmes ainsi avachis, sans mot dire. Mon vit, doucement, se ratatinait toujours au chaud entre ses lèvres, baignant dans la moiteur de nos épanchements. Peu à peu, nos souffles s’apaisèrent. Plusieurs fois, je faillis lui dire « je t’aime » mais maintenant que je redescendais sur terre, je comprenais combien cela aurait stupide. J’avais beau être jeune et bien la réjouir, je n’étais qu’un petit paysan et elle Madame la Comtesse…
    
    Au bout d’un temps incertain nous déculâmes. Retrouvant une position plus confortable, nous nous retrouvâmes blottis dans les bras l’un de l’autre, enfin surtout Marie-Angélique. Il serait dit qu’au terme de cette première journée, elle me ridiculiserait encore une fois. Alors que Morphée me tendait ses bras, M’dame la Comtesse, d’une voix ironique, me susurra au creux de l’oreille après m’en avoir mordillé le lobe pour attirer mon attention :
    
    — Inconstance de la ...
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