1. Mad world


    Datte: 13/07/2020, Catégories: fh, jeunes, copains, Oral préservati, Auteur: Lilas, Source: Revebebe

    ... orgasme incroyable… qui me fit trembler un long moment, les yeux violemment clos, le ventre secoué de spasmes extatiques.
    
    Le temps que je redescende sur terre, Vincent m’arrachait ma culotte et ma robe, et comme je ne portais pas de soutien-gorge, sa bouche trouva immédiatement le chemin de mes tétons dressés, qu’il suça avec application, avant d’égarer ses lèvres sur la courbe veloutée de mes seins.
    
    — Charlotte… souffla-t-il, les yeux clos.
    
    Je ne dis rien, mais comprimai ses fesses avec mes mains, avant de les glisser un peu partout sur son corps désormais nu. La chanson de Gary Jules, « Mad world » commença à cet instant, et comme le piano me rendait folle en certaines circonstances, j’attirai Vincent tout contre moi, en l’entourant de mes jambes.
    
    — Prends-moi… lui dis-je dans un souffle.
    
    Il me sourit tendrement, et me montra le préservatif.
    
    — On a oublié quelque chose, dit-il de sa belle voix rauque.
    
    Dans un soupir impatient, je me redressai un peu et saisissant son sexe qui était d’une fermeté époustouflante, je lui passai le préservatif. Puis, nous nous embrassâmes à nouveau, profondément, et Vincent se coucha sur moi, ses mains caressèrent mes fesses, avant de les ramener vers lui avec douceur. Je lui ouvris mes cuisses et sans l’aide de personne, son membre dur me pénétra profondément. Je laissai échapper un soupir de plaisir, tremblante. Il me serra très fort contre lui.
    
    J’avais le visage tout contre sa poitrine, et mis mon nez dans son cou, ...
    ... pendant que nous commencions à bouger ensemble. Le vent de la passion passa sur nous et sans plus aucune bride pour nous retenir, nous fîmes l’amour sauvagement, comme si le monde allait cesser d’exister, comme s’il ne restait plus que nous, nos deux corps fondus en un seul être éperdu de jouissance, que la course allait bientôt s’arrêter et que plus rien ne serait comme avant. Sans parler, sans se regarder, nous nous cherchions sans répit ; nos corps se reconnaissaient, comme s’ils n’avaient jamais été séparés, et le plaisir montait graduellement en nous.
    
    Mes ongles rentraient dans la peau de ses hanches, je me faisais violence pour ne pas crier trop fort à cause des voisins, et Vincent allait et venait profondément en moi, me conduisant jusqu’au bord du précipice où il m’abandonna soudain, dans un long gémissement, qui me laissa à demi folle.
    
    Je le sentis se répandre, s’agiter convulsivement avant de rester ancré en moi, immobile, ses muscles se détendant lentement. C’est seulement à cette seconde que je compris que je venais de ressentir un orgasme. C’était la première fois de cette manière, jamais je n’avais pu atteindre la jouissance par pénétration vaginale. J’eus un choc.
    
    Vincent se retira alors de moi, m’embrassa vaguement sur le front, puis disparut, nu comme un ver, dans le couloir menant à la salle de bain.
    
    — Je reviens, me lança-t-il, encore hors d’haleine.
    
    Je restai étendue, sans bouger, laissant mon corps s’apaiser lentement. La musique s’était tue. ...
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