Mad world
Datte: 13/07/2020,
Catégories:
fh,
jeunes,
copains,
Oral
préservati,
Auteur: Lilas, Source: Revebebe
... détendre un peu. Mais petit à petit, ses doigts remontaient plus haut, puis encore plus haut… Je le réprimandais régulièrement, mais comme douées d’une volonté propre, ses mains commencèrent à palper mes mollets, puis mes genoux… Il se pencha alors sur moi et d’un geste lent, entrouvrit mes cuisses. J’ouvris alors mes yeux pour rencontrer son regard brûlant.
— Je ne peux pas Charlotte, balbutia-t-il. C’est plus fort que moi… Je t’en prie, essaie de comprendre… Je te désire si fort…
Comment ne pas fondre à ses paroles ? Je soutins son regard, et ne fis pas un mouvement lorsqu’il m’embrassa à nouveau, au début patiemment, puis avec une fougue grandissante. Habitée de ce délicieux sentiment de braver l’interdit, je répondis enfin à son baiser et l’entourai de mes bras. Je sentis bientôt ses mains caresser mes cuisses, puis les ouvrir plus grand… Il se glissa entre elles, et s’étendit sur moi, le corps tremblant.
Mes mains se coulèrent sous son Tee-shirt et caressèrent sa peau parfumée avec une avidité presque sauvage. Je me tortillais sous lui, recherchant un contact toujours plus intime. Lui se faisait pressant également, cherchant sans répit ma bouche, respirant à peine entre deux baisers. Ses doigts remontèrent le long de mon entrecuisse et s’insinuèrent dans ma culotte, où ils glissèrent presque naturellement le long de mon clitoris enflé de désir, avant de s’enfoncer doucement dans mon sexe ouvert, et moite de l’irrépressible attente. Je poussai un gémissement ...
... sourd, m’agrippant à lui comme à une bouée de sauvetage. Il caressa ma vulve avec une lenteur étudiée, au début. Puis la frénésie le gagna, et ses doigts s’agitèrent rapidement, malaxant adroitement ma chatte humide, tout comme il m’avait malaxé la cheville.
Les yeux clos, je ne respirais plus que partiellement, envahie d’un plaisir si intense que je faillis jouir sur l’instant… Je criai un peu plus fort, et ce son exacerba davantage encore mon amant, qui se redressa brusquement, afin de se débarrasser de son pantalon qui nous gênait tant.
Haletants tous deux, nous nous regardâmes un instant. Il était donc arrivé, ce moment fatal où la vapeur pouvait encore s’inverser, où je pouvais encore dire non, lui résister, faire preuve de cette maturité qui me manquait tant. Et je restais silencieuse, le suppliant du regard de se dépêcher. L’urgence faisait trembler mon corps, mes seins se soulevaient précipitamment sous son regard de feu.
Il se leva donc, enleva son jean qui lui collait à la peau, et se dirigea vers une commode, d’où il sortit un préservatif. Puis, il plongea son regard au fond du mien :
— Tu veux me le mettre ? murmura-t-il.
Je fis oui de la tête. Il s’approcha de moi, sembla hésiter une seconde, puis écarta mes jambes et posa son front sur mon ventre tandis que sa bouche s’emparait de mon sexe gonflé de désir. Sa langue s’insinua en moi, me faisant crier faiblement. Il me lécha avec habileté, et seules quelques minutes suffirent pour que j’atteigne un ...