La mère (1)
Datte: 10/07/2020,
Catégories:
Divers,
Auteur: Jieff, Source: Xstory
... j’étais copieusement servi, et, ce qui ne gâtait rien, sur un luxueux plateau d’argent. La nourriture pour les pensionnaires était aussi copieuse et riche que l’institution. Nous, petit personnel, devions nous contenter des restes de poisson le vendredi mais cela ne nous privait de rien, c’est dire si l’administration me les engraissait avec entrain.
Grâce aux différends petits bricolages que l’on me confiait dans la maison, un interrupteur par ci, un pieds de lit bancal par là, j’avais fait la connaissance de l’ensemble de ces dames. Elles étaient devenues mon harem de branlette. Mes fantasmes pouvaient en changer chaque nuit et je baignais dans le luxe de la diversité! Me connaissant, j’avais la conviction qu’elles deviendraient la plupart, tôt ou tard, des réalités en chair et en os. Oh ! Les nichons de Madeleine… Les yeux vicieux de Mireille. !!! Ah ! Ce cul de Madame de Machin de mes Deux, la langue de Simone, les fesses de Madeleine… Bref ! A mon tour, j’avais la foi.
En chair ? Oh que oui, j’en rêvais ! Je ne négligeais pas pour autant certaines mamies maigrelettes qui me faisaient baver aussi. Mon esprit tordu s’excitait et mon entrejambe réagissait durement à des squelettes ambulants à la peau plissée et à des idées de tétons de formes étranges, de chattes fournies aux lèvres pendantes et suintantes de mouille. Ma bouche rêvait de sucer et mordre ces pointes d’amandes effilées et de mâchouiller ces figues que j’imaginais granuleuses. D’aucunes avaient un je ne ...
... sais quoi de brillant dans le regard, une façon de tendre leur chemise sur les nichons, qui disait la faim du mâle. Que je sois noir et qu’elles soient vieilles ne dérangeait personne.
Bien vite, les jours de bricolage, je décidais de me passer de slip. La coupe large de ma combinaison de travail et, l’été, son tissu léger me permettait innocemment de faire saillir mon braquemart à volonté en tirant légèrement sur le fin tissu le long d’une cuisse. A mon âge ma trique avait toujours les dimensions qui m’avait fait chouchou de nombre de femelles et au repos, tombée, collée le long de mon entrejambe, je la savais tout aussi impressionnante que dressée au garde à vous. Il me suffisait de choisir le bon moment, avec l’air perplexe de celui qui cherche une solution aux problèmes de cette %§+%& #$ de lampe de chevet à variateur électronique.
— Momo ! Qu’attendez-vous ? Voyons, je ne peux plus lire !!
J’observais alors le regard de ma proie descendre d’un étage et chercher discrètement un bon angle de vision. L’air de rien, je m’orientais en fonction de la lumière pour dessiner le volume de ma queue. Je repérais vite certaines mémés plus vives que d’autres. Celles-ci choisissaient toujours le moment pour laisser tomber une bricole qu’elles tenaient ferme l’instant d’avant puis se baissaient lentement pour la ramasser. Je laissais faire, semblant regarder ailleurs. Jouant au mufle incapable de penser à aider une vieille dame. J’entendais des " Ouch mes reins ! ", des " Aïe ...