La mère (1)
Datte: 10/07/2020,
Catégories:
Divers,
Auteur: Jieff, Source: Xstory
... mon dos ! " des gémissement et des soupirs de justification à n’en plus finir… J’avais vite compris que cela leur permettait de faire durer le spectacle. Je jouais avec le tissu et tirais dessus distraitement pour déplacer ma bête. Que ces femelles s’emplissent la cervelle autant qu’elles le pourraient de vicieuses idées dont je tirerais parti le moment venu.
La comtesse Anémone Machin de Mes Deux Majuscules fut la plus rapide. Je m’y attendais un peu car je l’avais surprise, tout comme les autres mais plus souvent, à refermer et cacher rapidement des magazines dont les couleurs criardes et le format ne laissaient planer aucun doute: Du cul, de la bite, de la fornication en gros plans. Dans les siens, j’avais même aperçu des chiens ainsi que des chevaux à la trique impressionnante. Elle n’avait pas froid aux yeux la bougresse et son imagination ne reculait devant rien.
Un jour que, debout sur le lit, je remettais en place les branchements d’une applique lumineuse; la comtesse, assise sur ce même lit et faisant semblant de vouloir m’aider, frôla de la main et comme par inadvertance ma bite descendant le long de ma cuisse. Je ne bronchais pas, elle refit le geste cette fois en me tendant le fil électrique qui pendait. Pour moi, d’évidence, elle avait arraché ces fils volontairement.
- Vous avez peut-être besoin de ça ?
Je notais sa voix étranglée. Son bras remonta et dans le mouvement toucha de nouveau légèrement mon sexe de son poignet. J’attrapais le fil, elle le ...
... tint serré contre ma bite tandis que je le tirais vers le haut.
- Merci ! Pas pour l’instant, madame.
Je relâchais la tension elle le fit alors glisser si lentement que je senti mon membre réagir. Elle tira alors le fil plus loin et plus fort vers elle. Je me repris:
- Mais vous avez raison, gardez-le, je pourrais vérifier sa longueur.
Nous tenions ce fil chacun à un bout. Elle se déplaça pour qu’il vienne s’enrouler un peu plus sur ma cuisse, emprisonnant ma queue, puis, se baissant elle fit semblant de chercher quelque chose à ses pieds. Elle en profita pour me caresser les couilles en glissant le fil au bon endroit entre mes jambes. Je ne regardais pas, concentré sur mon ouvrage, mais je sentais l’habileté de chacun de ses gestes anodins. Je notais que ma bite durcissait et commençait à se redresser sous ma combinaison de fine toile. Elle finit par lâcher :
- Momo ? Est-ce pour moi que vous n’avez pas mis de slip aujourd’hui? Voyons ! Ne faite pas l’innocent, j’ai bien remarqué ! Merci Momo ! C’est gentil de penser à divertir une vieille dame qui s’ennuie. Ne bougez pas, restez où vous êtes. Comme ça vous êtes parfait.
Elle attrapa la longue glissière et ouvrit large ma combinaison. Ma bite surexcitée en jaillit mue par un ressort. Elle l’attrapa aussitôt à pleines mains et l’en enroba du fil électrique. Elle fit plusieurs tours et serra légèrement pour dégager mon gland, le sortir de son abri de peau. Avançant la bouche et de la pointe de sa langue, elle ...