La mère (1)
Datte: 10/07/2020,
Catégories:
Divers,
Auteur: Jieff, Source: Xstory
... tenir Nini fermement. Son gros cul en demandait toujours plus mais, poussé dans ses limites, ses boyaux refusaient et son corps gigotait comme celui d’une truie qu’on égorge. Les couinements aigus qu’elle poussait, après vingt minutes de massages internes, lorsqu’elle jouissait du cul en pissant à grands jets nous obligèrent bien souvent à la bâillonner.
Un jour, sortant lentement son bras, le poing fermé, Anémone confessa :
— Momo, c’est fou comme son cul m’aspire le bras! C’est chaud dans ses tripes tu ne peux pas savoir, c’est gluant, plein de foutre et de pisse, j’adore. Quand mon bras sort, je regarde longuement cet intérieur encore palpitant. Voir au fond de ce trou grand ouvert m’affole, me donne des frissons, et Nini à chaque fois me redemande de l’enculer plus loin encore, tellement elle aime être fouillée au fond des boyaux. Elle me dit : " Vas-y encule-moi et cette fois rentre-le moi jusqu’au coude ! "
Et systématiquement ma marquise enchaînait :
— Défonce-moi encore Momo, encule-moi, toi aussi, mon boyau à moi me démange. Il faudra qu’un jour tu goûtes aux tripes à la mode comtesse … Tu y rentreras la main…Euh… Au moins jusqu’au poignet !
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Quelques jours plus tard, Nini a fait une demande à l’administration pour changer de chambre, en obtint une proche de celle de ma marquise-comtesse. puis en fit changer le matelas " Bien trop raide " leur a t’elle dit. Bien entendu, je fus chargé de lui installer et, en plus de celui que ...
... l’Acapadécato avait généreusement fourni, j’ajoutais celui de nos ébats humides, encore imprégné de nos odeurs de sucs et liquides de toutes origines, en lui susurrant :
— Au-dessus du neuf !
— Oh Momo ! Vous me comprenez à demi-mots.
Elle s’acheta une paire de jumelles et de ce jour passa des heures à sa fenêtre. Pour admirer la nature disait-elle.
Le curé de retour n’a décelé ni diable, ni feux de l’enfer. Sa soutane avait été lavée et repassée dans les temps et dans les règles. Le copain qui avait participé à mon plan fut invité de temps en temps à nous donner un coup de main, un coup de bite.
Il va sans dire que depuis ce jour les va et vient furent continus entre la chambre de la marquise, celle de Nini et d’autres dont, par respect, je ne citerai que les numéros, la 102, la 103, la 206 et la 221, parfois la 403, le tout dans le désordre.
Notre jeu maintenant comportait parfois jusqu’à huit ou dix joueurs et joueuses.
Anémone et Nini s’étaient, comme elles disaient en rigolant, mises au jardinage, elles adoraient l’une comme l’autre qu’à trois on leur pisse dans la bouche, dans le con, dans le cul, ensemble ou successivement. " Allez les jardiniers, sortez-nous vos arrosoirs ", était devenu un mot de passe.
La chapelle, les allées et le logement des jardiniers au fond du parc resplendissaient. Pelouses tondues et bacs fleuris. " Ils sont si consciencieux ", dixit l’administration.
J’avais planté et taillé avec amour les divers massifs, buissons et ...