La mère (1)
Datte: 10/07/2020,
Catégories:
Divers,
Auteur: Jieff, Source: Xstory
... travaillé il ressortait en un boudin gonflé, une bouée de sauvetage obscène. Anémone ne se le fit pas dire deux fois. Lorsqu’un jet puissant sortit de la première bite elle le dirigea au centre du trou. Nini poussa un gémissement de plaisir. Anémone gloussa.
— Prends ça la grosse ! On va t’emplir à ras bord…
Tout ce temps, Nini, affamée, le cul bouillonnant, continuait à me bouffer le croupion à bouche que veux-tu. Elle avait la langue musclée, la grosse Nini et un appétit d’ogresse. Je me doutais bien qu’après tant de carêmes et tant de privations son corps enfermait un volcan aux limites de l’éruption. Elle attrapa mon membre et le replia de telle façon que mes couilles poilues lui massent le menton. Son nez planté dans mon trou du cul, elle se frotta les joues de mon gland bien dégagé, luisant de salive, la peau étirée au maximum. Je ne sais trop comment elle s’y prenait, mais elle parvenait à me mordiller l’anus à quoi ma trique bandée réagissait par petits bonds et la faisait couiner, elle, de plaisir.
Son visage rougi était aussi excité que son cul et son con réuni. J’ai cru qu’elle allait jouir tout simplement de ma bite ainsi frottée en pleine face. Une bigote, peut-être, mais pas une engourdie !
De temps en temps, l’un de nous trois, se rhabillait, prenait une brouette, allait donner dans le parc quelques coups de pioches ou de binettes biens bruyants et biens en vue puis revenait dans l’église gicler dans le premier trou du cul qui se présentait à son ...
... braquemart. Bien sur, je n’hésitais qu’entre celui d’Anémone et celui de Nini, n’étant pas porté, mais alors pas du tout, sur les relations entre mâles.
A huit heures, on entendit la cloche sonner le dîner et ce fut une longue pause bienvenue pour nous tous.
On comprend bien que, pour notre grand plaisir, cette partie, pas vraiment fine, fut la première de beaucoup d’autres. A la surprise de tous, Nini devint la boute en train de la bande et, cela nous étonnait moins, demandait sans cesse trois bites à la fois. Souvent elle se prenait les deux jardiniers ensemble jusqu’au fond du cul, ce gouffre du diable qui n’avait demandé qu’à s’ouvrir en grand après tant d’années de diète.
Anémone, qui avait sa place réservée, me racontait qu’à chaque fois, en frottant les deux grosses bites l’une contre l’autre, elle les sentait gonfler et durcir entre ses mains et que bien vite la double masse de chair noire faisant face au cul de Nini la mettait en transe. Elle crachait sur les bites et le trou du cul avant d’officier dans un rôle d’enculeuse en chef qu’elle adorait. Elle jouissait à manipuler cet amas chaud, dur et glissant et, bien souvent, deux ou trois de ses doigts, emportés par la folie générale, pénétraient eux aussi dans le trou. de Nini qui, m’a t’elle dit, ne s’en plaignait pas, bien au contraire.
Ce ne fut qu’après trois ou quatre rencontres qu’elle parvint à y entrer le bras. Elle en rêvait. Il est vrai que, pendant que la comtesse opérait, on était obligé de ...