1. La mère (1)


    Datte: 10/07/2020, Catégories: Divers, Auteur: Jieff, Source: Xstory

    ... mordillèrent la peau. Deux doigts, qu’à leur façon de faire je reconnus comme étant ceux d’Anémone, s’insinuèrent dans mon trou du cul, le forçant à s’ouvrir large. La Marquise en rut, força sur le coté m’arrachant l’anus et m’obligea à pivoter. Alors elle saisit à pleines mains les cheveux de Nini et lui courbant la tête, lui força la bouche vers mon trou du cul béant qu’elle se mit aussitôt à sucer goulûment. Je sentis sa langue pointue se faufiler loin dans mon boyau à merde. Ses bras glissèrent entre mes cuisses et, à pleines mains, elle saisit mes couilles trempées de sa bave, attrapa ma queue et la branla avec fougue.
    
    Soudain Anémone lâcha tout et se précipita vers les énormes fesses de Nini toujours à quatre pattes. D’un coup d’œil elle avait vu et compris que M’Gala allait jouir et elle ne voulait rien perdre des giclées de foutre, d’une éjaculation de sperme à portée de bouche. A deux mains, elle arracha le long manchon noir du cul de Nini . Au passage du gland, celui-ci fit un bruit de bouchon mouillé et la marquise se planta le machin en bouche en gémissant. Je vis M’Gala faire des bonds de chimpanzé électrocuté. Ma marquise lui croquant les couilles à pleine dents suivit le mouvement. M’Gala, les yeux révulsé, jouissait, vibrait de tout son corps et, de ses reins, lui frappait nerveusement le fond de la gorge à grand coups de queue expulsant son foutre. Anémone gémissait, s’étranglait, s’étouffait mais en avalait tout ce qu’elle pouvait. Le reste suintant de ...
    ... sa bouche, mélangé de bave, coulait sur son menton en longues rigoles brillantes et glissait jusqu’à ses seins.
    
    D’où j’étais je ne perdais rien. Anémone, les yeux hagard, supplia M’Gala :
    
    — Pisse, maintenant ! Je veux voir ton urine gicler sur les fesses de cette grosse, la voir se glisser par son trou du cul loin dans son bide. Remplis-moi cette salope de tout ton jus. Attend, je guide ton truc, ferme les yeux et laisse aller ta pisse.
    
    Décidément, ma marquise était fascinée par les jets d’urine d’hommes. De femmes ? Je ne le savais pas encore. Mais c’est M’Balo qui avait le plus envie de pisser, avec un grand rire il se mit debout à coté de son complice et dit :
    
    — Tiens la vieille, prends ma bite aussi, à nous trois on va lui exciter le feu qu’elle a au cul, on va jouer aux faux pompiers.
    
    — La marquise, aux anges, pris à pleines mains les deux grosses pines noires qui pendouillaient devant ses yeux après avoir giclé leur foutre. Cette masse de chair dans ses mains lui faisait passer des frissons le long de la nuque. Rarement une sensation l’avait autant excitée. Ces deux bites tripotées ensembles étaient lourdes, brûlantes, douces, humides et palpitantes. Elle frotta les glands rougis l’un contre l’autre ce qui fit glousser nos deux lascars. M’Balo dit..
    
    — Vise bien son trou du cul, il est ouvert on va lui remplir à ras bord.
    
    Effectivement l’anus de Nini était un large gouffre sombre bordé de bourrelets de chair violacée et tremblante. D’avoir été autant ...
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