1. Balade en ville


    Datte: 08/07/2020, Catégories: ff, fbi, frousses, nympho, magasin, Humour sf, Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe

    ... c’est vrai que vous aimez pas l’eau… Eh ben, j’sais pas, on verra… Y a une fête foraine en ville en ce moment, on pourra y aller faire un tour.
    — Nous devons garder plusieurs périodes pour nous accoupler ! me rappela Juliette, inquiète.
    — Ouais ! Bon, habillez-vous, on y va.
    
    Elles refirent apparaître leurs belles robes de soirée noires qui moulaient à merveille leurs courbes magiques et m’emboîtèrent le pas tandis que j’essayais de leur faire admettre l’idée de porter également une veste ou un manteau léger.
    
    Je les conduisis jusqu’au centre-ville où je garai la voiture pour la journée dans un parking souterrain. Puis nous marchâmes. Je les menai de par les multiples rues piétonnes au hasard de mes envies. On s’arrêtait de temps à autre devant un magasin, ou bien on entrait dans un autre. Je les emmenai dans des boutiques de musique, de bouffe, de jeux, de livres…
    
    Ma plus grande erreur fut toutefois de les faire entrer dans un magasin de fringues, où une vendeuse réussit même à les convaincre d’essayer des robes ; devinant qu’elles allaient faire disparaître celles qu’elles portaient et inquiéter la sympathique commerçante, je leur expliquai rapidement à l’oreille qu’il fallait s’isoler dans les cabines pour se changer et n’en ressortir que quand elles seraient à nouveau présentables.
    
    Juliette reçut une robe bleu nuit satinée des mains de la vendeuse qui la lui recommandait pour aller avec sa "meeeeerveilleuse chevelure rousse", et elle refourgua à Éloïse une ...
    ... robe blanche argentée qui ferait ressortir ses "yeux é-blou-is-sants". Je laissai avec un soupçon d’angoisse mes deux nymphes aller se cacher derrière les pauvres rideaux de deux cabines contiguës et me postai devant, prêt à tout, montant quasiment la garde.
    
    Juliette ressortit en premier. Elle fit quelques pas dans le magasin, somptueuse dans cette robe dont le seul défaut était de mouler excessivement (même à mes yeux) sa poitrine imposante, dont la vendeuse ne parvenait d’ailleurs plus à détacher les yeux. Éloïse sortit à son tour, vêtue de blanc, effectivement éblouissante. Elle passa nonchalamment sa main dans ses cheveux en marchant lentement vers nous, comme parce qu’elle le valait bien…
    
    — Vous êtes superbes ! Toutes les deux ! Vraiment ravissantes ! s’applaudissait la vendeuse.
    
    Devant mon air inquiet, elle ajouta :
    
    — Et pour monsieur nous proposons des facilités de paiement…
    
    Je déglutis avec appréhension. Mais Juliette, qui s’était observée un instant dans un miroir (avec curiosité, car ne comprenant qu’au bout d’un instant que c’était sa propre image), décida soudainement de retirer sa robe et, en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, se trouva entièrement nue, rendant son bien à la vendeuse qui, à son tour, déglutit manifestement en se saisissant de la robe.
    
    — Vous… euh… Ne prenez pas froid, tout de même… bredouilla-t-elle poliment, parcourant du regard le magnifique corps nu.
    
    Et devant ses yeux sidérés, Éloïse se mit à se dévêtir de sa robe ...
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