Conversion
Datte: 08/07/2020,
Catégories:
fh,
hplusag,
extracon,
photofilm,
Oral
pénétratio,
fsodo,
extraconj,
Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe
... l’avouer maintenant que ses œillères sont tombées, de l’attrait qu’il exerce aussi sur elle. Toutes ces pensées se bousculent dans son esprit où tous ses repères ont volé en éclat. Impulsivement, comme une noyée voyant une bouée tombée du ciel, elle s’accroche au cou de Renaud et plaque ses lèvres contre les siennes. Surpris, il ne répond pas au baiser. Elle insiste, il est pris dans un tourbillon. Il ne songe plus à la ramener à plus de sagesse. Il l’installe sur ses genoux et accueille sa langue. Leur baiser s’éternise. Les mains de Renaud s’animent, l’une caresse la nuque de la jeune femme, l’autre s’aventure vers sa poitrine, commençant par frôler la base avant de glisser vers les aréoles sans les atteindre. Leurs bouches se séparent.
Elle s’écarte légèrement en se redressant pour lui rendre ses seins plus accessibles. Il les cajole longuement, avant enfin d’arriver aux mamelons pointant fièrement. Il s’y attarde peu, se contentant de les effleurer et de recommencer, insistant un peu plus à chaque fois, allant jusqu’à les pincer légèrement. Il remplace sa main par ses lèvres, léchant, suçant, mordillant même les pointes dressées. Comme en témoignent ses soupirs, Marie-Cécile apprécie le traitement, d’autant que de sa main devenue libre, Renaud lui caresse les genoux, le dessus des cuisses, puis l’intérieur, de plus en plus haut, et plus la main monte et plus elle ouvre les jambes. Elle se dit qu’elle ne devrait pas, mais laisse échapper un gémissement de frustration ...
... quand la main s’éloigne après avoir effleuré ses lèvres, et que Renaud la retire de ses genoux pour la déposer sur le canapé. Il la fait basculer sur le dos, appréciant d’avoir un canapé sans bras, écarte ses cuisses, les met sur ses épaules et plonge la tête vers les trésors exposés. Elle n’a pas le temps de reprendre ses esprits que Renaud se met à embrasser ce que sa main vient de quitter.
— Que fais-tu ? fait-elle étonnée en repoussant sa tête.
— Tu vois bien, je t’embrasse.
— Arrête !
— Je te fais mal ?
— Non… ça ne se fait pas.
Il trouve la réponse charmante et elle montre l’inexpérience, voire la naïveté de la jeune femme.
— La preuve que si, dit-il en écartant les mains qui l’éloignaient pour de nouveau déposer des baisers sur la fente humide.
Il la sent toujours tendue et réticente, mais elle ne le repousse plus. Il continue et quand sa langue écarte ses lèvres pour atteindre son bouton, elle lâche un « oh ! » de surprise mais nullement de réprobation. Bien au contraire, elle se laisse aller sur le dos et instinctivement ses cuisses s’ouvrent plus largement. Il lèche, titille, suce, enfonce sa langue. Il la sent fondre. Sans cesser ses jeux de langues, il s’empare de ses seins. Marie-Cécile a le con en feu et l’esprit en ébullition. Elle ne sait plus où elle en est. Elle devrait l’arrêter, oui elle devrait. Mais tout son corps vibre, ses seins caressés, pincés, étirés se dressent et l’électrisent, son ventre lui semble un brasier animé d’une vie qu’elle ...