1. Conversion


    Datte: 08/07/2020, Catégories: fh, hplusag, extracon, photofilm, Oral pénétratio, fsodo, extraconj, Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe

    ... ne contrôle pas.
    
    Maintenant elle n’a plus qu’une idée, non que cela cesse, au contraire, que cela continue. Renaud sent bien qu’elle a atteint un point de non-retour. D’une main, il ouvre son pantalon pour faire jaillir son sexe qui s’y trouvait à l’étroit. D’un rapide mouvement, il se redresse, plante son pieu dans la chatte béante, s’allonge sur Marie-Cécile et l’embrasse à pleine bouche, la clouant sur le canapé, comme pour empêcher un ultime revirement. Mais il n’avait rien à craindre, si elle avait songé à protester, c’est uniquement quand il avait brièvement cessé ses caresses. Lorsqu’il a pénétré sa féminité, elle n’a nullement eu l’idée de l’en déloger.
    
    Faisant plus que subir, elle noue ses jambes autour de la taille de son galant et ses bras autour de son cou. Elle répond avec ardeur à son baiser, sans même prêter attention qu’elle goûte sur ses lèvres sa propre liqueur. Il n’y a pas une heure cette simple idée l’aurait révulsée. Quand Renaud se dégage, elle en est fort dépitée. Il la fait mettre à quatre pattes. Elle n’aime guère cette position qu’elle trouve trop bestiale, mais là encore dans un état presque second, elle obtempère sans discuter, écarte largement les cuisses. Quand il la pénètre à nouveau, son bassin se synchronise pour aller au-devant de ce sexe qui la pourfend. Elle n’a jamais ressenti cela aussi fort. Un plaisir qui l’irradie et monte de plus en plus jusqu’à une explosion qui la laisse pantelante.
    
    Elle voudrait souffler mais ce diable ...
    ... de Renaud poursuit sa chevauchée, et celle-ci durant, ses sens s’éveillent à nouveau. D’abord ce ne sont que de simples étincelles qui la font tressaillir, mais elles se multiplient pour devenir une flamme rayonnante. Celle-ci grandit en un feu qui l’embrase, puis un incendie qui la ravage. Son cerveau ne contrôle plus, c’est son corps qui a pris le pouvoir et son corps semble maintenant se limiter essentiellement à son sexe et celui-ci appelle à se faire pénétrer, demande à être envahi, exige de se faire ramoner. Et il est servi, car pour se faire ramoner, il se fait ramoner. Renaud la lime d’amples et puissants coups de queue qui la font tanguer, l’obligeant à se cramponner pour ne pas être projetée en avant.
    
    Ses seins ballottent en tous sens. Elle a oublié toute retenue, toute pudeur, se cambrant et tendant les fesses. Son halètement devient grognement, puis râle profond, avant de se transformer en couinement pour finir en vocalises allant crescendo. Heureusement qu’ils sont en pavillon, sinon les voisins auraient eu de quoi jaser. Mais à entendre Marie-Cécile, il n’est malgré tout pas impossible que des échos leur parviennent. Quand elle prend son pied pour la seconde fois, sa voix s’éteint progressivement pour finir dans un soupir. Cette nouvelle jouissance la terrasse. Elle s’affale, délogeant le sexe de Renaud au moment où il allait lui aussi jouir. C’est donc sur sa croupe qu’il se répand.
    
    Marie-Cécile reste étendue sur le canapé et met quelques temps à revenir ...
«12...567...»