1. Astrid et Julia (9)


    Datte: 07/07/2020, Catégories: Trash, Auteur: imaxparis, Source: Xstory

    ... mal. Je m’arrête un instant et je la calme en lui massant les fesses pour la décontracter.
    
    — Tout doux ma belle. Il faut souffrir pour me plaire. Tu vois ma main entière est dans ton cul. C’est maintenant que je vais le démolir. Tu veux que je continue ?
    
    — Oui vas-y défonce-moi ! Fais-moi crier ! Je suis à toi sans condition.
    
    Ce sont alors les allers-et-retours puissants de mon bras qui lui ramonent désormais son conduit. Elle hurle, crie puis pousse uniquement des gémissements de plaisir jusqu’à son orgasme final au moment où, de mon autre main, je viens presser son clitoris turgescent. Elle s’écroule sur les marches, épuisée.
    
    Après le petit-déjeuner de ce matin où je l’ai sodomisée pendant plus de dix minutes en utilisant mon sexe, elle vient d’avoir droit à une séance plus qu’éprouvante, engloutissant ma main entière dans les tréfonds de son rectum. Avec ça elle est prête pour le gang-bang de demain...
    
    Le temps a passé plus vite que prévu. Il n’est plus temps d’aller au restaurant et d’ailleurs elle n’en aurait pas la force.
    
    Nous dinons frugalement et nous allons nous coucher. Astrid n’a pas prononcé un mot depuis l’évènement dans l’escalier. Elle me suit docilement dans la chambre. Nous sommes toujours nus. Elle peut voir que je bande et que j’ai encore envie d’elle. Jamais une femme ne m’avait stimulé autant. Elle me regarde avec étonnement et me dit d’une petite voix :
    
    — Tu es infatigable. J’ai bien peur que mon sexe et mon cul ne puissent recevoir ...
    ... une nouvelle intromission. Tu m’as tuée !
    
    — Ta bouche est encore accessible alors, tu sais ce qui te reste à faire ?
    
    D’elle-même elle s’allonge sur le lit, la tête pendante et ouvre sa bouche en grand dans une invitation flagrante à la coïter au fond de la gorge.
    
    De la voir ainsi abandonnée, mon désir s’accroit immédiatement. Mon sexe me fait mal tellement il est dur. Il faut que je me libère c’est une nécessité. J’approche ma bite de sa bouche et je m’enfonce lentement jusqu’à toucher sa glotte. Elle déglutit facilitant la pénétration. Ses lèvres enserrent la base de ma queue et la compressent effectuant un doux massage. Mon gland est absorbé et pénètre lentement dans sa trachée à la limite de l’étouffement. Je contrôle mes mouvements et elle m’en sait gré en enfonçant doucement un doigt dans mon cul. C’est divin !
    
    Je lui pelote les seins que j’ai allégrement fouettés quelques heures auparavant et j’en tords les pointes. Sous la douleur que je lui procure, le cri étouffé qu’elle émet provoque une contraction de sa mâchoire qui accélère les pressions sur mon vît. Je ne peux résister à cette sollicitation et j’éjacule longuement dans sa bouche accueillante. Je me retire et elle avale tout.
    
    Je la redresse, la couche normalement sur le lit et je l’embrasse doucement sur les lèvres. Nos langues se rejoignent dans un baiser fougueux. Je peux goûter mon sperme qui tapisse encore sa bouche. Elle me serre fortement dans ses bras, me dit juste « Je t’aime » et s’endort ...
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