Astrid et Julia (9) - Histoires de Sexe

Astrid et Julia (9)

A l’arrivée, je lui fais couler un bain bien chaud auquel j’ajoute des sels parfumés pour la détendre. Une fois sortie, je la fais allonger sur la table de massage. Je passe un baume réparateur sur tout son corps, d’abord côté pile, puis côté face. J’insiste sur ses zones érogènes. Elle ronronne de bonheur, me dit que ça lui fait du bien. Je la mène ensuite au lit où, une fois allongée, elle s’endort d’un profond sommeil. Je me couche à côté d’elle, pose une main sur l’un de ses seins et je m’assoupis moi aussi, emporté par la fatigue.

C’est une odeur de café qui me réveille. Je suis nu dans mon lit, la trique au garde-à-vous ; Astrid n’est plus à mon côté. Je me lève et me dirige vers la cuisine. Elle est là, nue, sans défense, dos à moi, préparant le petit-déjeuner. Ses fesses sont rougies par les coups de paddle qu’elle a reçus, son dos zébré par la séance de fouet subie la veille. Je m’approche et colle ma bite dans la raie de son cul. Elle s’abandonne. Je prends ses tétons entre mes doigts et je les triture lentement tout en douceur. Elle frémit et je sens monter en elle un orgasme violent, inattendu. Elle a joui uniquement par le travail que j’ai effectué sur ses seins. Elle tourne sa tête vers moi et me dit, en me baisant les lèvres :

— Bonjour mon amour.

En réponse, je la penche en avant sur le plan de travail. Je crache sur sa rosette, j’approche mon pénis turgescent de son œillet et je l’encule sans coup férir. Elle feule pendant que je la défonce ...

... inexorablement et méthodiquement, sans aucun répit. Son anus est rougi des assauts multiples qu’il a reçus mais elle ne semble pas souffrir. Au contraire, ses cris de jouissance s’amplifient et s’accélèrent. Ça me stimule jusqu’au moment où l’orgasme se déclenche chez elle, signalé par le hurlement qu’elle pousse au moment où je m’épanche en elle. Nous reprenons notre souffle, elle se relève, se tourne vers moi et s’abandonne dans mes bras, à la limite de l’épuisement.

— Tu m’as encore une fois bien baisé, dit-elle avec amour.

Il me vient alors une idée. Pour qu’elle devienne vraiment une accro du sexe il faut que je ne lui laisse aucun répit. Il n’est donc pas question qu’elle se repose après cette séance. D’un autre côté je ne suis pas un surhomme... je dois renouveler mon énergie. Je la soulève alors et je la couche sur l’îlot central au milieu des pots de confiture, de la motte de beurre et des toasts. Elle me regarde d’un air étonné et me demande :

— Qu’est-ce que tu fais ?

— Nous allons prendre le petit-déjeuner que tu as préparé avec amour. Tu en seras le point central. Laisse-toi faire tu vas découvrir de nouveaux plaisirs : être dégustée par l’homme que tu aimes... et être alimentée par lui.

Joignant les gestes à la parole, j’ouvre les pots de confiture et, plongeant mes doigts dans leur contenu, je commence à enduire les principales zones érogènes de son corps : de la marmelade d’abricot sur ses seins ; les tétons étant rehaussés par les morceaux entiers, de ...