1. Astrid et Julia (9)


    Datte: 07/07/2020, Catégories: Trash, Auteur: imaxparis, Source: Xstory

    ... l’évier. Je retire les gressins plantés dans son rectum et d’une seule poussée je l’encule jusqu’à la garde. Elle pousse un « oh » de surprise devant cette attaque subite. Pendant plus de dix minutes je vais la sodomiser sans répit en lui massacrant les seins que j’utilise comme poignées pour me tenir et mieux m’enfoncer en elle.
    
    Elle hurle en disant que c’est bon. Elle veut que je la défonce encore plus mais me demande aussi d’arrêter car elle est épuisée. Je n’ai cure de ce qu’elle dit. Je veux la soumettre complètement, l’achever. Je veux qu’elle ne puisse plus s’assoir pendant des heures après le massacre de son cul. Je la pilonne sans arrêt jusqu’au moment où je sens la sève monter de mes couilles. Je la force à se mettre à genoux devant moi et j’éjacule de longs jets puissants sur son visage défait et dans sa bouche.
    
    Les larmes, qui ont envahi ses yeux, se mélangent au sperme qui coule sur ses joues. Elle me regarde amoureusement, docile et, après avoir tout avalé, elle entreprend le nettoyage complet de mon sexe amolli qui, quelques secondes auparavant, perforait son rectum. Elle me dit alors d’une petite voix :
    
    — Je n’en peux plus. Tu es infatigable. Après la soirée d’hier, déjà éprouvante pour moi, tu m’as épuisé dès le réveil avec ce petit-déjeuner surprise. Mais j’ai tellement aimé que j’attends déjà que tu recommences.
    
    — Alors là ma chérie, il faudra que tu attendes encore un peu que je reprenne quelques forces. Il faut dire que ton corps ...
    ... m’ensorcelle. Tes seins sont magnifiques et je ne m’en lasse pas. Ton cul ? N’en parlons pas c’est un appel à la sodomie. Ta bouche ? Une merveille quand elle aspire ma bite. Tu es bandante à souhait.
    
    — J’aime être désirée à ce point. Je suis toute à toi. Tu peux faire de moi ce que tu veux, me donner à qui tu veux comme hier soir, uniquement parce que je t’aime. Non seulement tu prends du plaisir en utilisant mon corps de toutes les façons possibles – Dieu sait que tu as de l’imagination – mais tu sais en donner sans égoïsme de ta part. Tu me fais jouir au-delà de ce que je croyais pouvoir faire. Tu m’as rendue accroc au sexe. Avec toi, désormais, j’ai toujours envie de faire l’amour.
    
    Je la relève alors et je la prends dans mes bras, tendrement. Nos bouches se rapprochent, fiévreuses. Nos langues s’enroulent, nos mains parcourent nos corps respectifs, démontrant par ces gestes l’amour qui nous porte désormais. Nous n’allons pas plus loin puisque nous savons, l’un et l’autre, que d’ici quelques heures nous remettrons ça.
    
    Après avoir pris une douche ; sage ; nous vaquons à nos occupations respectives. Astrid retourne chez elle pour faire quelques lessives et un peu de ménage. J’en fais autant de mon côté. On s’est promis de se revoir ce soir. Je l’invite au restaurant. Elle est ravie.
    
    Vers midi, je reçois un coup de téléphone de Julien qui me demande si un gang-bang avec Astrid est toujours d’actualité. Il a déjà contacté, via le club d’échangistes où nous sommes inscrits, une ...
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