1. Astrid et Julia (9)


    Datte: 07/07/2020, Catégories: Trash, Auteur: imaxparis, Source: Xstory

    ... dizaine d’hommes vigoureux et bien membrés. Ils sont d’accord pour une séance demain soir dans le salon spécial. Comme le prévoit le règlement du club ils devront tous avoir un certificat de séropositivité négatif de moins de deux jours pour pouvoir la baiser sans capotes.
    
    Je pense qu’il est temps de franchir une nouvelle étape de la soumission d’Astrid. Je lui donne mon accord.
    
    A dix-huit heures, elle est de retour. A peine arrivée elle me saute dessus et me dit :
    
    — Prends-moi tout de suite mon chéri. Je n’en peux plus j’ai envie de toi. Je me suis masturbée trois fois en pensant à toi mais ça ne m’a pas apaisée... J’ai envie de ta bite.
    
    — Tu t’es fait plaisir sans moi ?
    
    — Oui !
    
    — Tu dois être punie alors. Tu comprends pourquoi ?
    
    — Oui dit-elle dans un souffle je ne dois pas me faire plaisir sans que tu m’y autorises. J’aurais dû partager avec toi ces instants.
    
    — Alors direction la cave ! Je vais te fouetter les seins. Vingt coups seront nécessaires pour effacer ta faute. Allez ! En route !
    
    Arrivés en bas je la fais se déshabiller. Je l’attache sur la table basse, bras et jambes écartées, ses seins pointant vers le plafond. Ses yeux expriment la peur. Je fais rouler ses tétons entre mes doigts, puis je les presse en continu, fortement, pour les faire durcir.
    
    Je m’adresse alors à elle :
    
    — Veux-tu que je te bâillonne pour pouvoir crier sans bruit ou tu préfères souffrir sans pousser un cri ?
    
    — Je préfère être bâillonnée car je ne suis pas ...
    ... sûre de pouvoir résister.
    
    Je lui mets donc un bâillon boule et je commence à lui fouetter les seins, méthodiquement, sans faillir. Ses cris sont étouffés. De petites perles de sang apparaissent sur ses aréoles. Je m’arrête quelques secondes pour mettre mes doigts dans sa chatte. Elle est trempée. J’enfonce le manche du fouet dans son sexe puis, une fois bien humidifié, c’est son anus qui le prend.
    
    Je décide d’arrêter là, la punition, mon sexe est trop dur, j’ai trop envie d’Astrid. Je me dévêts. Je me couche sur elle, mon vît bien dressé écarte ses grandes lèvres, puis les petites et s’introduit lentement, inexorablement jusqu’à toucher son utérus. Le plaisir envahit son visage et nous jouissons ensemble, à l’unisson.
    
    Je la détache et nous remontons à l’étage. Elle me précède et je peux admirer ses fesses charnues qui semblent me narguer dans un appel au viol. Je la stoppe dans son ascension et je lèche délicatement sa raie jusqu’à titiller son anus. Elle se penche en avant, pose ses mains sur les marches plus hautes, me présentant ainsi son cul pour faciliter ma tâche. Ma langue tourne autour de sa rosette et humidifie sa corolle. Elle gémit. Je fais pénétrer un doigt, puis deux dans le trou qui palpite devant mes yeux. Ils sont vite rejoints par les trois autres qui désormais lui distendent son fondement. Je crache plusieurs fois sur ma main et dans le trou qui s’élargit au fur et à mesure de ma progression. Au passage du poignet, Astrid hurle tellement ça lui fait ...
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