1. Astrid et Julia (9)


    Datte: 07/07/2020, Catégories: Trash, Auteur: imaxparis, Source: Xstory

    ... la gelée de fraise à l’entrée et dans sa chatte comme pour simuler l’arrivée de ses règles et de la confiture de griottes, principalement sur son mont de Vénus ; son nombril étant agrémenté d’une cerise plus grosse.
    
    Astrid se laisse faire, curieuse de savoir ce qui va lui arriver. Son corps frémi à chacun de mes attouchements. Comme dansLe dernier tango à Paris, c’est son anus que je tapisse de beurre amolli.
    
    Je parachève le tableau en plantant dans son sexe une tartine préalablement beurrée ainsi que plusieurs gressins dans son fondement.
    
    Astrid est prête pour la dégustation...
    
    Je parcours son corps avec ma bouche et goûte à ce petit-déjeuner succulent que j’ai concocté. La marmelade d’abricot disparaît en peu de temps de sa poitrine, aspiré par mes lèvres avides qui parachèvent le travail en avalant les morceaux placés sur ses tétines. J’en profite pour les suçoter longuement ce qui provoque chez elle des frissons qu’elle ne peut maîtriser. J’insiste en les mordillant la poussant en quelques secondes à un orgasme dévastateur.
    
    Je ne lui laisse pas le temps de souffler et viens bouffer la tartine qui dépasse de sa chatte. Je m’attaque alors à la gelée de fraise qui tartine sa moule. Ma langue entame des circonvolutions autour de ses lèvres vaginales puis attaque son clitoris que je débusque de l’antre dans lequel il est logé. Quelques aspirations, juste pour exciter encore plus Astrid, et ma lécheuse pénètre son sexe pour en extraire la gelée de fraise qui s’y ...
    ... trouve. C’est un délice ce goût mélangé de mouille abondante et de confiture.
    
    Le bassin de ma douce se tend vers moi pour que la pénétration de ma menteuse se fasse plus profondément. Elle en veut encore et le fait savoir en poussant des gémissements qui s’accélèrent au fur et à mesure de la progression linguale à l’intérieur de son con. C’est par un jet de cyprine, qui m’inonde la figure, et un cri violent qu’elle concrétise le nouvel orgasme qui vient de la saisir.
    
    Elle est là, inerte, épuisée, allongée sur le plan de travail, abandonnée. J’ai de nouveau envie d’elle et plus particulièrement de sa bouche dans laquelle je voudrai m’enfoncer. Je tartine ma bite, mes couilles et mon cul de confiture et, après m’être hissé sur la console je m’assois sur sa tête.
    
    Astrid a vite compris que c’était pour elle le temps de déguster son petit-déjeuner. Elle entreprend alors le léchage complet de mes parties génitales, de mon périnée et de mon anus. Mon sexe est dur comme de la pierre car elle sait magnifiquement se servir de sa langue qui lèche si bien mais qui sait aussi pénétrer mon trou du cul.
    
    Je décide d’envahir sa bouche dans laquelle je n’ai pas l’intention de finir. C’est un long coït dans sa gorge que j’entreprends, qui la fait hoqueter tant mes allers-et-retours sont forts. Je sens sa glotte qui emprisonne mon gland. C’est une sensation sublime que de la posséder ainsi mais ce n’est pas la consécration.
    
    Je la fais descendre en même temps que moi, la penche sur ...
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