1. Femme sérieuse devient soumise... à cause d'une envie pressante (1)


    Datte: 02/07/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Zalava, Source: Hds

    ... me débarrasse de mon sac, me conduit à sa salle de bain et commence à me deshabiller. Je me laisse faire sans réfléchir, incapable de réagir, toujours avec une seule image en tête, celle de cette queue, de cette envie qui a été plus forte que tout, de ce plaisir qui m'a envahie.
    
    Je ne me rends pas compte que je parle tout haut, que mon amie me parle doucement, me guide sous la douche qui coule déjà. Je suis nue, elle est dans mon dos. Elle me savonne doucement, avec mille délicatesses. Elle me dit de me laisser aller. C'est à ce moment que je me rend compte qu'elle aussi est nue, contre mon dos, que ses mains caresses mes seins, que ses bras m'enlacent.
    
    Je me retourne et tente de la repousser avec la force qu'il me reste. Elle ne m'en laisse pas le temps et me gifle !
    
    - Laisse toi faire, putain !
    
    Sa violence et sa façon de me parler me laisse sans voix. Déjà elle a attrapé les pointes de mes seins. sans attendre elle les pince en tournant, me faisant pousser un cri.
    
    De nouveau une onde de chaleur envahie mon bas ventre. Que m'arrive-t-il ? Qu'ai-je réveillé en moi.
    
    Elle m'a plaquée contre la paroi de la douche. Sa main droite est contre mon sexe. Sa gauche tord l'un de mes seins.
    
    - Alors, on aime ça, se faire maltraiter ? Depuis le temps que tu m'agaces avec tes airs de sainte nitouche !
    
    De nouveau j'ai ce sentiment d'impuissance, ce besoin d'appartenir. Ses doigts frôlent mon sexe et déjà je soupire. Elle caresse mon clito et sitôt je gémis. Chaque ...
    ... fois elle pousse mon excitation un peu plus loin, chaque fois elle me pince plus fort les tétons pour ne pas que je jouisse. De nouveau mon corps réclame la pénétration, mais pas de bite pour me satisfaire. Mon cerveau me renvoit l'image de la bite de Jean-Luc. Je suis déjà en manque.
    
    Je presse mon pubis contre sa main. Elle s'en rend compte, me lâche, et coupe le robinet de la douche. Elle attrappe une serviette, me sèche sans ménagement, puis fait de même pour elle.
    
    Je n'ose rien dire, je ne bouge pas. Mon envie est toujours présente, impérieuse.
    
    - Que veux-tu salope ?
    
    - ....
    
    - Aller parle, ou je te laisse frustrée !
    
    D'une petite voix, j'arrive seulement à dire que j'ai envie
    
    - Envie de quoi ?
    
    - ...Envie de jouir...
    
    - Rhabille toi !
    
    Je m'attendais pas à ça. Je la supplie de me faire jouir.
    
    - Ta gueule, tu vas jouir, mais pas ici. Remets tes fringues.... et puis non tiens puisque t'es pressée.
    
    Elle me traîne vers sa chambre, ouvre une armoire, me tend un manteau que je mets sur mon corps nu. Il m'arrive à peine à mi-cuisse.
    
    - Va remettre tes chaussures pendant que je m'habille.
    
    Elle est prête en 30 secondes. Son manteau est juste un peu plus long que le mien. Elle ouvre la porte d'entrée et me dit d'aller sonner en face. Elle referme sa porte pendant que je traverse et elle me rejoint quand la porte de la maison d'en face s'entre ouvre.
    
    Un homme la cinquantaine bien conservée nous fait entrer. Ma collègue de travail me pousse au ...