1. Femme sérieuse devient soumise... à cause d'une envie pressante (1)


    Datte: 02/07/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Zalava, Source: Hds

    ... m'attrappe les cheveux avec la main et me force à m'agenouiller et ne me lache pas tant que je n'ai pas gobé ce sexe viril.
    
    Cette bite sent fort, s'impose dans ma bouche sans me laisser le temps de m'habituer, et pourtant, de nouveau, une onde de chaleur parcours mon bas ventre.
    
    Jean-Luc me parle crûment tandis que la grosse dégrafe mon corsage et mon soutif. Puis sans ménagement, alors que je suce ce sexe trop gros pour ma bouche, elle s'occupe de mes seins, les malaxent, les pincent, les agacent encore et encore. Parfois elle me fait mal, je gémis, mais je sens que mon excitation est à son comble. Je veux cette queue, maintenant, en moi.
    
    Toute retenue me quitte, je deviens une chienne en chaleur. Je lâche la bite, me relève, prends appui de mes mains sur les accoudoirs d'un fauteuil, cambre les reins et écarte les jambes. Je m'offre sans retenue en hurlant "baise-moi"
    
    La main de Jean-Luc s'abat magistralement sur ma fesse droite, puis gauche. La fessée est rude mais ne calme pas mes ardeurs.
    
    - Pas si vite ma belle ! Il faut la mériter la bite à Mon Jean-Luc.
    
    La grosse trousse sa jupe, s'immisce entre moi et le fauteuil, où elle se laisse tomber jambe en l'air, chatte à l'air. Je n'ai pas le temps de réagir que sa main attrappe une nouvelle fois mes cheveux et attire ma bouche vers sa chatte poilue et odorante.
    
    - Mon Jean-Luc te prendra seulement quand tu m'auras fait jouir...
    
    Jean-Luc a posé son gland contre ma chatte. Je le sens palpiter. Je ...
    ... tortille le cul pour me faire mettre, mais il veille et exquive en cadence. Je sais ce qu'il me reste à faire. Je ne suis pas bi. Je ne suis pas attirée, mais je suis prête à tout. Je le sais. Je n'essaye même pas de me raisonner. Pour la première fois de ma vie, mon désirs est plus fort que ma raison. Je veux cette bite quelle que soit l'humiliation que l'on m'impose.
    
    Alors je commence à lécher cette femme. Sa chatte est déjà trempée de mouille. Elle ondule et gémit en cadence. Elle aussi semble bien excitée. Elle répète "encore... encore..." à mon intention, part dans un râle sans fin. Je crois que c'est son orgasme, mais non. Je dois poursuivre tandis que la bite contre mes fesses entretient mon exitation au maximum.
    
    Je n'en peux plus. Dans un sursaut de lucidité, je comprends que si je veux accélérer les choses, il faut que je prenne en main le plaisir de la grosse. Alors, sans cesser de la sucer, je lui colle deux doigts dans la foufoune. Je me reconnais plus. L'effet est immédiat. Elle se met à hâleter, et moi, je ressens un vrai plaisir à la faire jouir !
    
    Elle jouit bruyamment, et au même instant le sexe de Jean-Luc me pénètre d'un coup. C'est à la fois violent et délicieux. Tout mon corps se contracte, j'arrête même de respirer quelques secondes. Je reste comme suspendue, ne ressentant qu'un formidable raz de marée en moi. Et puis la déferlante arrive. Un plaisir comme je n'avais jamais ressenti. J'hurle, gigote, ne veux plus que ça s'arrête.
    
    Jean-Luc me pilonne, ...
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