1. Femme sérieuse devient soumise... à cause d'une envie pressante (1)


    Datte: 02/07/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Zalava, Source: Hds

    ... encore et encore, sans ménagement, je me comporte comme une bête, je ne sais plus ce qui m'arrive, mon corps ne m'appartient plus, c'est irréel, bestial, intense. Je m'aperçois que je jouis vraiment, pour la première fois de ma vie, à 35 ans.
    
    Je m'affale dans le fauteuil sur le corps de la grosse. Mon plaisir se dissipe lentement faisant place à une grande fatique et un sentiment de honte. Ma raison se réveille enfin et constate les dégats : je suis dans les bras d'une femme, un inconnu vient de me baiser, moi, une femme mariée, jusque là fidèle, sérieuse...
    
    Les larmes coulent en même temps que ma chatte qui refoule la semence dont j'ai été inondée. Partir... je n'ai plus que ce mot en tête. Fuir ce lieu de dépravation, ces gens que je ne connais pas, leur sourire béat, et leur phrases qui m'agacent :
    
    - Bah faut pas pleurer ma p'tite Dame.
    
    Je trouve la force de me lever, remonte ma culotte trempée que j'avais sur les chevilles, rabat ma jupe, tente de rajuster mon soutif baissé et mon chemisier ouvert. J'attrape mon sac à main qui traine au milieu de la pièce.
    
    PARTIR, vite !
    
    - Vous devriez prendre une p'tite douche ma jolie
    
    Non, fuir, m'en aller...
    
    - Vot'mari va pas aimer s'il vous voit rentrer dans cet état là.
    
    Je me dirige déjà vers la porte. Je croise les yeux de Jean-Luc. Je vois son sourire à travers mes larmes. Sa queue dans sa main a déjà repris de la vigueur.
    
    FUIR.
    
    Avant que j'ai franchi la porte d'entrée, il me lance :
    
    - Reviens ...
    ... quand tu veux ma belle. Ma queue t'attend. Tu verras, tu pourras plus t'en passer.
    
    J'aurais voulu pouvoir fermer mes oreilles comme on peut fermer les yeux. Ne pas entendre cela, ne pas m'en rappeler.
    
    Sur le trottoir, je me sens écrasée par la lumière du soleil qui a percé à travers les nuages. Je marche sans entrain, sans but. Je ne peux pas rentrer chez moi comme cela. Il avait raison le Jean-Luc. La grosse a arracher 2 boutons mon chemisier, je dois avoir une tête affreuse d'avoir pleurer et baiser comme une salope.
    
    J'attrape mon téléphone, appelle ma seule amie, pas de réponse. Je tente une collègue de travail qui me semble-t-il crèche pas trop loin. ça décroche enfin. Je lui demande si elle peut venir me chercher sans donner trop de détails. Quand je lui donne le nom de la rue où je me trouve, elle me dit que je suis tout près de chez elle. On reste en ligne et elle me guide jusqu'à chez elle. Les rues sont heureuserement presque désertes. J'ai l'impression que les quelques personnes que je croise, des personnes âgées essentiellement, lisent sur mon visage ce que je viens de faire.
    
    J'arrive enfin. Elle imagine que je me suis fait violer en me voyant. Je lui raconte tout d'une seule traite, comme pour me libérer du poids de la honte, de l'humiliation et de la culpabilité.
    
    Je suis épuisée physiquement et psychiquement. Elle me fait boire un verre d'eau. Je ne désire qu'une chose : une douche pour me laver de tout cela. Elle a compris sans que je lui dise. Elle ...