Les Amazones
Datte: 01/07/2020,
Catégories:
fh,
fhh,
asie,
Oral
Partouze / Groupe
fsodo,
historique,
aventure,
Auteur: André 59, Source: Revebebe
... l’ombre. Une femme. Jeune et bien faite. Elle était nue. Elle vint s’allonger près de lui. Il fut frappé par les tatouages qui couvraient ses bras et ses épaules. Un griffon dont la tête et le bec s’étalaient sous le sein gauche déroulait ensuite son corps sur ses hanches et ses reins. Ses longs cheveux roux étaient tressés. Un torque d’or décorait son cou, signe qu’elle était de rang élevé.
— Qui es-tu ? Pourquoi m’avez-vous épargné ?
Il n’obtint aucune réponse. Sans doute ne parlait-elle pas le grec. Mais son geste fut sans équivoque. Stupéfait, il la vit poser ses doigts sur son entrejambe et entamer sur sa verge ramollie un mouvement ferme et régulier de va-et-vient, massant de son pouce la peau délicate du gland avec douceur. Avec un air concentré, elle le branlait de sa main droite avec méthode, sans passion mais efficacement, comme un artisan faisant du bel ouvrage. Malgré lui, il ne tarda pas à bander comme un bouc. Il ne comprenait rien à ce qui se passait. Son scalp aurait dû décorer le harnais d’un cheval et sa peau servir de tapis de selle. Au lieu de cela, c’est lui que cette fille se préparait à chevaucher.
Elle se plaça sur lui, se pencha et posa sa main gauche sur sa poitrine, lui arrachant un gémissement. Elle passa ensuite la main droite entre ses cuisses, saisit sans hésitation son membre dur qu’elle posa à l’entrée de son propre sexe. Lorsque son gland effleura la fente, Il fut encore plus étonné de la sentir aussi mouillée et si ouverte. D’un ...
... coup de reins, il se planta alors en elle et lui saisit les hanches, arrachant à son hôte inattendu un cri de surprise plutôt que de douleur. En réalité, c’était lui qui avait mal, pas elle mais comme beaucoup de Grecs, il n’aimait guère cette position qui rendait la femme maîtresse du jeu, il valait mieux qu’il prenne l’initiative. Même avec quelques côtes cassées. Il sentit bien sa bite raidie plonger dans un fourreau étroit. Il adorait ce moment où la verge tendue s’enfonce dans la moiteur des cuisses écartées, au milieu d’un friselis de poils humides où perle le plaisir, caressant une peau douce et fine. Jamais il ne s’était senti aussi vivant, aussi décidé à jouir de l’existence une dernière fois. Puisque ces barbares voulaient s’amuser avec lui, autant en profiter avant d’aller rejoindre ses camarades aux enfers.
Elle ondulait des hanches tout en dardant ses yeux clairs dans les siens. Entre eux, il n’y avait pas une parole échangée mais elle le défiait ouvertement du regard. Elle avait le contrôle, pas lui. Femme étonnante qui savait se battre sans doute et qui savait faire aussi bien l’amour. Il posa les mains sur ses seins ronds et en caressa les pointes, elle poussa un petit cri de plaisir. Ce brave Hérodote se trompait quand il racontait qu’on leur brûlait la mamelle droite pour mieux tirer à l’arc. Mais c’était de la folie. Cette fille avait dû faire partie de celles qui avaient criblé de flèches ses frères d’armes avec des cris de rage et maintenant elle lui ...