1. Les Amazones


    Datte: 01/07/2020, Catégories: fh, fhh, asie, Oral Partouze / Groupe fsodo, historique, aventure, Auteur: André 59, Source: Revebebe

    ... donnait son corps sans retenue. Où était la logique chez ce peuple ?
    
    Il ne chercha guère à pousser la réflexion plus loin. Elle exhalait une odeur suave qui l’enivrait. Son cul balançait d’avant en arrière de plus en plus rapidement, venant au-devant de sa propre queue qu’il n’avait jamais sentie aussi dure, aussi brûlante. Il l’empala littéralement dessus en hurlant alors qu’il l’inondait de sa semence. Couverte de sueur, les cuisses poisseuses, elle se coucha sur lui, effleurant son torse avec ses seins. Drôle de situation que de voir votre adversaire vous désirer avec une telle ardeur… Elle prit son visage entre ses mains et caressa ses lèvres du bout des doigts avec un sourire inattendu puis elle disparut aussi mystérieusement qu’elle était apparue, sans un mot, laissant derrière elle le sillon d’un étrange parfum. Le jeune grec eut juste le temps de voir sa silhouette nue disparaitre dans le noir.
    
    Erostratos perçut ensuite des voix féminines qui parlaient à l’extérieur avec animation dans une langue inconnue. Puis il ferma les yeux, bénissant les dieux de ce dernier cadeau. Éros et Thanatos semblaient faire bon ménage chez les Amazones. C’était une belle fin pour un guerrier.
    
    Il n’eut pas le temps de se rendormir. Une autre femme souleva la tenture de peau et pénétra à son tour dans le chariot. Lourde, bâtie toute en force et beaucoup plus âgée à voir ses cheveux blancs, elle était nettement moins avenante que la précédente. Surtout, elle était richement ...
    ... vêtue, ses habits couverts d’amulettes en bois ou en os indiquaient qu’elle devait avoir des fonctions sacrées. Pour l’occasion, elle se contentait de le manipuler avec précaution, changeant ses bandages et examinant attentivement la cicatrisation des blessures. Elle n’était pas là pour le plaisir. Erostratos poussa intérieurement un soupir de soulagement. Elle continua les soins puis sortit en grommelant.
    
    Le jeune homme voulait en avoir le cœur net. En serrant les dents, il prit appui sur un coude et se leva. Il était dans le plus simple appareil mais la pudeur n’était pas son fort. Comme beaucoup de Grecs, il n’avait pas peur de la nudité, preuve de virilité et de courage. Il passa la tête par l’ouverture de la ridelle. Et resta stupéfait. Il contemplait une ville en mouvement. Des centaines, peut-être des milliers de chariots occupaient la plaine. Sur les flancs, des cavaliers virevoltaient sur leurs montures. Mais ce qui le laissa bouche bée fut de voir leurs visages. Des femmes. Partout des femmes. Il n’y avait pas de doute à avoir. Les Amazones étaient là, devant lui. Aristès n’avait pas vécu assez longtemps pour le voir lui aussi mais il avait raison, elles existaient bien. Il n’eut guère le temps d’en voir plus. Une de ces guerrières arriva au galop et lui donna un coup du bout de la hampe de sa lance. Rien de dangereux mais la douleur le rejeta au fond du chariot. Jurant et crachant, il réalisait qu’il était bien prisonnier des barbares.
    
    Un monde renversé où les ...
«12...8910...15»