1. L'animal qui est en toi


    Datte: 11/04/2018, Catégories: f, fh, Collègues / Travail vacances, parking, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, pénétratio, fsodo, amourpass, extraconj, Auteur: Catherine, Source: Revebebe

    ... entendu, réagit au quart de tour.
    
    — J’ai envie de sucer ta grosse bite… Tu me laisses faire, dis ?
    
    De nouveau, je n’ai pas le temps de répondre qu’elle est déjà à genoux et m’embouche.
    
    La garce ! Elle sait s’y prendre, et elle vient de m’enfourner jusqu’à la garde. Sa langue s’enroule autour de mon membre, qui n’avait pas besoin de ce traitement de choc pour être tendu à l’extrême. Elle me lèche la hampe, le bout de sa langue titille mon méat tandis que ses mains ne restent pas inactives et me malaxent joyeusement les roubignolles. De temps en temps, elle se retire de ma queue, et la façon magistrale que sa main droite a d’imprimer d’amples va-et-vient à ma verge est à deux doigts de me faire voir des étoiles. Puis, de nouveau, elle fait coulisser sa bouche autour mon dard, et il me semble qu’elle est en train de m’engloutir à chaque fois un peu plus. De nouveau, elle se retire de mon sexe et reprend sa branlette infernale, juste pour que je l’entende me dire :
    
    — Tu vas me gicler sur la gueule, hein, salaud ? Allez gicle, gicle !
    
    Le plus terrible dans cette histoire, c’est qu’en cinq ans de « vie commune » avec Jennifer, jamais je ne l’ai entendue proférer la moindre grossièreté, même dans les situations les plus tendues et les plus délicates. Mais pour l’instant elle me branle avec une telle vigueur que je suis à deux doigts d’accéder à sa requête quand quelques mots me reviennent à l’esprit : « le premier qui craque a perdu ».
    
    Alors, au prix d’un effort ...
    ... surhumain, je l’arrache de ma verge, juste assez pour lui fourrer à mon tour ma langue dans la bouche, le temps de reprendre un peu mes esprits.
    
    — Tu as bien failli m’avoir, bourrique…
    
    Mais là, à ma grande surprise, elle se recule de moi, tout en faisant avec ses deux mains le signe « T » que l’on utilise au basket pour signifier que l’on demande un temps mort.
    
    — « Salope », s’il te plaît…
    — Pardon ?
    — Si tu veux avoir davantage de chances de gagner, dis-moi des mots crus. « Salope », par exemple, ça m’excite… Plus tu diras de gros mots, plus tu m’échaufferas.
    
    Décidément, moi qui croyais bien connaître cette nana, j’en apprends de belles sur son compte.
    
    — Donc, reprenons. Tu as bien failli m’avoir, salope !
    — Oh oui…
    
    Ça n’a jamais été dans mes usages d’insulter une femme, et encore moins une que je connais et que je respecte en temps normal, mais le regard ravi qu’elle vient de me lancer risque fort de modifier mes habitudes. En attendant, je viens de virer les boutons de son tailleur, le caraco de satin vient de voler, et c’est à mon tour de lui montrer de quoi je suis capable en m’attaquant à ses seins. Comme, en plus, je l’ai collée au mur, elle ne peut plus reculer tandis que je malaxe prestement, avec une fermeté calculée, sa poitrine dont les pointes ne tardent pas à se dresser sous la caresse.
    
    — Alors, petite pute, tu aimes ?
    
    Elle ne répond pas, mais son expression implorante en dit bien plus que tous les mots ne sauraient exprimer. Oui, elle ...
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