1. L'animal qui est en toi


    Datte: 11/04/2018, Catégories: f, fh, Collègues / Travail vacances, parking, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, pénétratio, fsodo, amourpass, extraconj, Auteur: Catherine, Source: Revebebe

    ... aime, elle adore, et la façon dont elle serre les dents pour ne pas gémir tandis que je titille le bout de ses seins entre deux doigts en est bien la preuve. Tantôt j’y vais soft, roulant les pointes avec douceur, tantôt j’y vais plus hard, les pinçant jusqu’au bord de la douleur. Puis, sans prévenir, tandis que ma main droite continue de délicieusement maltraiter ses seins, j’attrape la fermeture de la jupe, qui tombe aussitôt sur le sol. Là, à ma grande surprise, alors que le caraco, le soutif et le porte-jarretelles appartiennent au même coordonné, je tombe sur un string tout ce qu’il y a de plus ordinaire et, surtout, parfaitement désassorti. Puisqu’elle veut des insultes, on va voir ce que cela donne.
    
    — C’est quoi, cette saloperie, pétasse ?
    
    Relativement inquiet, je scrute son regard pour savoir ce qu’elle pense de ce que je viens de lui dire. Mais non seulement elle ne rebiffe pas, mais la façon qu’elle a de mordre sa lèvre inférieure me laisse à penser qu’elle apprécie, tout au contraire. Alors, puisqu’elle ne répond pas, j’arrache d’un coup sec l’écrin de dentelle, qui cède sans même un craquement, me dévoilant ainsi une petite touffe rousse absolument délicieuse.
    
    — Tu seras mieux la chatte à l’air, ma cochonne…
    
    À ce moment précis, malgré la furia qui est la mienne, un éclair de lucidité traverse mon esprit. Si sa chatte est mouillée, je continue le manège. Si elle ne l’est pas, j’arrête tout, il s’agit d’un jeu, pas d’un viol. Certes, si cela ne lui ...
    ... plaisait pas, j’imagine qu’elle crierait ou, tout du moins, me le ferait savoir, mais elle ne bronche pas. Jennifer se contente de se laisser faire, ce qui, soit dit en passant, ne fait pas baisser la pression dans ma queue toujours aussi raide – peut-être même un peu plus que lorsqu’elle était dans sa bouche.
    
    Mais là, après n’avoir résisté que pour le principe, lorsque j’accède à son sexe c’est pour y découvrir une chatte détrempée, ruisselante de mouille et de désir.
    
    — Tu mouilles, salope ?
    — Oh oui…
    — Et tu sais pourtant que tu ne dois pas jouir ?
    — Je m’en fous, tu n’y arriveras pas…
    
    En attendant, je viens de fourrer deux doigts dans son sexe détrempé, et le regard qui est le sien me donne plutôt l’impression qu’au contraire, elle n’en a plus pour très longtemps. Alors, pour ajouter au trouble et rendre l’orgasme un peu plus dévastateur encore, je commence un lent et délicat massage de son clitoris. Puis, c’est à mon majeur de parcourir les grandes lèvres, s’attardant entre elles, avant de pénétrer cette fois avec une douceur toute relative l’antre de son vagin. Le souffle coupé, les sens en feu, je la vois serrer les dents pour ne pas gémir. Un instant, je pense même à la laisser là quelques instants, puisque là-bas, sur la table basse, il y a une grosse bougie dont j’aimerais bien me servir comme d’un gode de fortune. Parce que, soyons clairs, si à cet instant précis je lui fourre ma queue, je ne vais pas tenir plus de dix secondes, et ce sera raté de chez ...
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