1. L'animal qui est en toi


    Datte: 11/04/2018, Catégories: f, fh, Collègues / Travail vacances, parking, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, pénétratio, fsodo, amourpass, extraconj, Auteur: Catherine, Source: Revebebe

    ... remettre, cette fois sans aucune douceur, deux doigts dans le cul. Sa réaction ne se fait pas attendre.
    
    — Continue, salaud, continue !
    
    Sans réfléchir, comme un automate, je me vois alors sortir ma queue et la présenter juste en face de son anus. Elle tourne la tête, le sourire carnassier, le regard féroce, quasiment la bave aux lèvres.
    
    — T’oseras pas ! Jamais tu ne m’enculeras !
    
    Tu parles ! Avec la douceur d’un marteau-piqueur, je lui enfonce ma queue dans le cul, d’un seul coup, jusqu’à la garde. Le hurlement qu’elle pousse est atroce, mais elle ne se débat pas, elle n’essaie même pas de s’échapper. À voir comment les larmes coulent sur ses joues, la douleur doit être terrible. Confus, je suis sur le point de me retirer d’elle quand elle me retient.
    
    — N’arrête pas, je t’en supplie…
    — Mais je te fais mal !
    — Je m’en fous, continue. Bourre-moi, ne t’occupe pas de moi…
    
    Facile à dire ! Alors, je commence à aller et venir dans son cul, il me semble d’ailleurs qu’il se détend quelque peu, il est désormais bien moins serré qu’il ne l’était quelques instants plus tôt. Parallèlement, les traits de Jennifer se décrispent peu à peu, j’ai l’impression que son rictus de douleur est en train de changer, et ce ne sont pas les petits cris qui parviennent désormais à mes oreilles qui me disent le contraire.
    
    — Vas-y ! Bourre-moi ! Bourre-moi comme une pute !
    
    Ce que femme veut… Alors, puisqu’elle me le demande, je me mets à la bourrer comme elle le désire, je la ...
    ... pilonne comme une brute, à lui en arracher les entrailles, et plus j’y vais fort, plus ses cris résonnent dans l’établissement vide. Il ne s’agit plus de douleur, il s’agit de plaisir, j’en mettrais ma main au feu. Cela dure quelques minutes, je sens ma queue qui grossit encore dans son cul, je m’enfonce encore un peu plus dans son fondement et tandis que ma semence jaillit tout au fond d’elle, je l’entends basculer dans un violent orgasme.
    
    Je reprends mes esprits, juste pour m’apercevoir qu’elle est en larmes.
    
    — Je suis un salaud… Je te demande pardon, je t’ai fait pleurer…
    — Laisse tomber… Oui, tu m’as fait mal, mais c’est de bonheur que je pleure…
    
    Je n’en crois pas mes oreilles.
    
    — Tu ne m’en veux pas ?
    — Non, mais je risque de t’en vouloir énormément si, dès que nous serons à l’hôtel, tu ne recommences pas. J’ai encore envie…
    
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    Nous étions arrivés le lundi pour un stage qui allait durer dix jours. Alors, assez bêtement, après une semaine qui est passée à la vitesse de l’éclair, un week-end où nous avons été à deux doigts d’être obligés d’appeler les secours et principalement la tente à oxygène tant notre délicieux affrontement a été intense, nous sommes arrivés à ce satané mercredi, le jour où nous devions rentrer. Les meilleures choses ont une fin, nous le savions dès le début, mais cela ne rend pas les séparations moins douloureuses.
    
    Bien sûr, nous nous reverrons au travail dès demain mais, nous le savons, plus rien ne sera jamais comme ...