L'animal qui est en toi
Datte: 11/04/2018,
Catégories:
f,
fh,
Collègues / Travail
vacances,
parking,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
pénétratio,
fsodo,
amourpass,
extraconj,
Auteur: Catherine, Source: Revebebe
... place, tout à l’heure, et si nous n’entendions pas cette radio venue d’on ne sait où, nous pourrions penser que ce village a été totalement abandonné. La cour de ce café est pleine d’herbes folles, encombrée de bouteilles vides et de cochonneries diverses, mais on dirait bien que là-bas, tout au fond, la porte d’entrée est restée ouverte. Jennifer l’a vu et me tire par la main.
— Viens, suis-moi…
Aussitôt le seuil franchi, nous avons l’impression d’avoir changé de siècle. Visiblement, rien n’a bougé depuis les années soixante, les vieilles affiches vantant le Cinzano ou le Quinquina, le thermomètre hors d’âge, les tables poussiéreuses aux banquettes de skaï explosées, tout cela est d’époque. Elle m’attrape par la main.
— Encule-moi…
Devant mon manque d’empressement à m’occuper d’elle, elle insiste.
— Encule-moi, ici et maintenant. Je le veux…
Ben voyons… Même s’il n’y a visiblement personne alentour et que les vitres des fenêtres sont couvertes de poussière, il n’y a pas d’endroit où nous pouvons être sûrs de ne pas être vus. Sauf, peut-être, derrière le comptoir de zinc, tout près de la porte d’entrée.
Alors, je l’emmène derrière ce fameux comptoir. Je laisse traîner mes mains sur son corps, mais elle ne réagit quasiment pas. Son regard froid me signifie qu’elle attend quelque chose, qu’elle ne désire rien d’autre…
Alors, en désespoir de cause, je m’agenouille et passe mes mains sous sa robe légère, juste pour pouvoir lui ôter sa culotte. Après, me ...
... dis-je, on verra bien… Juste pour moi le temps d’effleurer les lèvres de son sexe et elle attrape ma main.
— Ma bouche et ma chatte te sont interdites, tu le sais.
Elle est bien gentille, mais sans un minimum de liqueur intime, je ne vois pas comment lubrifier son étroit conduit et encore moins comment pouvoir la prendre sans la faire souffrir. Elle semble avoir lu dans mes pensées.
— Débrouille-toi, je te veux dans mon cul dans l’instant. Magne-toi…
En guise d’invite, elle pose ses mains sur le rebord du comptoir, au niveau où se trouvaient les bacs à vaisselle. L’heure est grave…
Pour ce qui est de Marcel, pas de problème, il est au rendez-vous. Alors, puisque telle est sa demande, je mets un maximum de salive sur mes doigts qui se glissent sous sa robe, jusqu’à ce qu’ils parviennent au petit orifice. L’anneau culier cède sans grande résistance à un premier doigt, suivi sans plus de peine d’un second, dont le doux mouvement de va-et-vient a surtout pour but de lubrifier ce passage inhabituel.
— Ça suffit, encule-moi…
— Mais je vais te faire mal…
— Je m’en fous, je te veux tout de suite… Et n’oublie pas de m’insulter…
Alors, pour faire bonne mesure, je prends son bras et le lui retourne dans le dos en le relevant. Je sais que je lui fais mal, mais elle ne bronche pas.
— Tu vas voir ce que je vais te mettre, sale petite pute !
Là, coincée entre moi et le comptoir, tenue qu’elle est par le bras, je profite de ce qu’elle ne peux plus bouger pour lui ...