1. L'animal qui est en toi


    Datte: 11/04/2018, Catégories: f, fh, Collègues / Travail vacances, parking, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, pénétratio, fsodo, amourpass, extraconj, Auteur: Catherine, Source: Revebebe

    ... » est absent cet aprème. Donc, tu vas me faire visiter l’arrière-pays.
    — Comme tu veux, princesse.
    
    Profitant de ce que nous sommes seuls, j’en profite pour la prendre dans mes bras et l’embrasser. Comme mes mains commencent à être baladeuses, elle m’arrête.
    
    — Je te rappelle que c’est mon jour, et que c’est donc moi qui mène le jeu.
    — Je sais, je devrai te faire l’amour où et quand tu me le demanderas. C’est à moi de me débrouiller pour que ce soit possible.
    — Tout à fait. Mais ce n’est pas tout…
    — Ah ?
    — Parce qu’encore une fois, il y a un truc que mon bonhomme m’a toujours refusé et que toi, tu vas réaliser.
    — Quoi ?
    — Tu me prendras où et quand je le déciderai, mais aussi comme je le voudrai. C’est-à-dire qu’aujourd’hui ma chatte et ma bouche te sont interdits.
    
    Devant mon incompréhension, elle ajoute.
    
    — Je ne te veux que dans mon cul, si tu préfères…
    
    Après l’hôtesse faisant des claquettes sur l’aile et Sarko et toute sa bande au même endroit, je dois dire que cette surprise n’est pas mal non plus. Seulement, il y a un problème, et je lui fais le signe T que nous connaissons déjà.
    
    — Qu’y a-t-il ?
    — Déjà, il faut que tu saches que, même si je veux bien te suivre, je ne suis pas fan de la sodomie.
    — Moi non plus, en vérité. Mais j’ai très envie de voir comment tu vas te débrouiller.
    — Pas trop bien, à mon avis. Mais tu as déjà pratiqué ? Euh… je veux dire, beaucoup ?
    — Oui, pas souvent, et il y a longtemps.
    — Tu n’as pas peur que je te fasse mal ...
    ... ?
    — Non, et quand bien même, ça fait partie du jeu. Alors, tu acceptes ?
    — Je vais essayer. Et puis, aujourd’hui, c’est à moi de t’obéir…
    
    Cela fait une petite heure que nous roulons, le ciel est bleu, l’air est délicieusement doux et embaume les mille parfums de la campagne, les oiseaux chantent, les tas de pavés sont en fleurs, euh… non, je m’égare…
    
    Sur cette petite route qui serpente à flanc de coteau, je m’attends à chaque instant à ce que Jennifer me demande de m’arrêter. L’endroit est propice aux galipettes, la plupart des parcelles sont clôturées par des haies mais n’ont pas de barrières, sans oublier les arbres qui tous semblent vouloir nous offrir leur ombre bienfaisante.
    
    Mais Jennifer ne dit pas un mot, ou en tout cas pas ceux que j’aimerais lui entendre dire. Et puis, soudain, au détour d’un virage, un petit village. Quelques maisons adossées à flanc de colline, l’église en plein milieu, et de toute évidence très peu d’habitants comme en témoigne l’état de délabrement de beaucoup de bâtisses qui pourtant furent, c’est encore visible, absolument superbes.
    
    — Arrêtons-nous, dit-elle, j’ai envie de me dégourdir les jambes.
    
    Tandis que nous nous promenons dans ces ruelles désertes, la main dans la main, je ne peux m’empêcher de penser à ce qu’elle m’a réclamé tout à l’heure. Je ne sais absolument pas comment je devrai m’y prendre quand elle me le demandera…
    
    Au détour d’une rue, un ancien bistrot. Si nous n’avions pas vu ces deux voitures garées sur la ...
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