1. L'animal qui est en toi


    Datte: 11/04/2018, Catégories: f, fh, Collègues / Travail vacances, parking, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, pénétratio, fsodo, amourpass, extraconj, Auteur: Catherine, Source: Revebebe

    ... l’expression rayonnante du plaisir…
    
    Je la caresse tendrement, la queue toujours fichée au fond d’elle, tandis qu’elle reprend doucement ses esprits.
    
    — Tu vas me rendre dingue…
    
    Ça, c’est fort probable, me dis-je. Reste à savoir lequel des deux va perdre la raison le premier, et je ne parierais pas que ce soit elle…
    
    — Mais toi, tu n’as pas joui, demande-t-elle soudain, inquiète. Tu n’as pas joui en moi…
    — Peu importe, la soirée n’est pas encore finie…
    — Nanan, tu ne vas pas t’en tirer comme ça…
    
    Elle se déboîte alors de moi, m’embrasse fougueusement puis descend doucement, parcourant mon torse de sa langue. Elle arrive rapidement jusqu’à mon ventre, se met de nouveau à genoux sur le tapis de haute laine, et approche sa tête de mon entrejambe. Là, elle caresse les poils à la base de mon sexe qui pointe toujours vers le ciel, avant de le prendre en main, tandis que de l’autre elle s’empare délicatement de mes balloches, exactement comme elle l’avait fait l’avant-veille.
    
    De toute évidence, c’est à son tour de me faire languir, comme en témoigne cette façon qu’elle a de couvrir mon gland de mille petits baisers, tout en l’effleurant à peine du bout de sa langue pointue. L’exercice dure un long moment, j’en suis à me dire que jamais elle ne m’embouchera quand, justement, elle m’engloutit jusqu’à la garde, j’en suis à deux doigts de hurler tant cette sensation est délicieuse…
    
    Juste à ma droite, il y a le meuble dans lequel, autrefois, les cigares étaient ...
    ... rangés, et il comporte une porte en verre. Tandis qu’elle me suce allégrement, via le reflet dans cette porte j’ai une vue imprenable sur ses courbes parfaites, sur son cul rebondi, et chaque fois qu’elle se redresse pour mieux me dévorer, elle me dévoile involontairement un délicat abricot qui, au même titre que ma queue qui ne semble plus jamais débander, paraît éternellement détrempé.
    
    Ce cul, cette chatte, je voudrais tant les caresser, mais c’est impossible… Et si elle continue de s’activer comme elle le fait, je ne vais pas tarder à me répandre dans sa bouche. Alors, puisque je suis censé être le meneur de jeu, je l’attrape doucement par les cheveux, la relève et, sans dire un mot, la mets face au bureau. Elle comprend le message cinq sur cinq, puisqu’elle pose ses coudes sur le plateau, et se présente d’elle-même dans la position de la levrette.
    
    — Baise-moi, je n’en peux plus…
    
    J’aimerais bien la prendre en douceur, mais cette fois encore je m’en révèle incapable. Alors, sans prendre le temps d’une quelconque préparation – mais est-ce nécessaire ? – je m’enfonce d’un trait dans cette chatte que j’avais déjà explorée quelques minutes auparavant. J’essaie de commencer par de longs et profonds va-et-vient, mais ils se transforment très vite en un féroce pilonnage. Et là, quasiment malgré moi, je ne lui fais pas l’amour, je ne suis même pas en train de la baiser, je suis plutôt en train de la bourrer comme un forcené qui se déchaîne après s’être tellement retenu. Et ...
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