L'animal qui est en toi
Datte: 11/04/2018,
Catégories:
f,
fh,
Collègues / Travail
vacances,
parking,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
pénétratio,
fsodo,
amourpass,
extraconj,
Auteur: Catherine, Source: Revebebe
... la prends par la taille, j’approche ma bouche des pointes tendues de ses seins, je caresse doucement son sexe humide avec mon gland, un peu comme la veille, j’essaie de retarder le plus possible le moment où je vais prendre possession d’elle.
Je la sens frissonnante, tout son corps est prêt à m’accueillir, mais je vois bien qu’elle aussi savoure cette attente préliminaire. Il ne faut rien brusquer… Mais, en attendant, il est temps de placer mon sexe à l’orée de sa grotte, et elle en profite aussitôt pour se laisser glisser doucement, s’enfilant elle-même, avec une infinie lenteur, sur ma verge tendue.
Je dois prendre sur moi pour ne pas hurler à mon tour… Elle s’empale avec une lenteur exaspérante, chaque millimètre de cette lente progression dans ce fourreau humide et terriblement étroit est un délice. Lorsque, enfin, je suis tout au fond d’elle, elle s’immobilise, puis reprend en quelque sorte les commandes avec un langoureux va-et-vient.
Comme j’essaie de lui embrasser les seins, elle accélère, tandis que j’essaie de me contenir tant bien que mal face à un tel déferlement. De nouveau, elle gémit doucement, de nouveau je sens son plaisir monter, comme le prouvent les mouvements de son bassin qui deviennent de plus en plus désordonnés, de plus en plus aléatoires.
Elle cherche visiblement à me garder au plus profond d’elle-même, mais elle ondule, frotte son pubis contre le mien, de nouveau elle m’écrase la tête contre ses seins, tandis que je presse ses fesses ...
... à pleines mains.
Cette fois, j’en suis sûr, c’est elle et elle seule qui gère notre plaisir à tous les deux, elle s’arrête d’ailleurs un instant comme pour s’assurer que je vais bien, puis reprend son petit manège sur ma queue.
Cela ne dure qu’un court moment, juste le temps de repartir à l’assaut en une cavalcade frénétique. Haletante, elle gémit doucement, toujours au seuil de l’orgasme mais s’y refusant obstinément. Mais, au bout de quelques minutes d’une chevauchée démentielle où je m’efforce de rester stoïque, la fatigue vient à bout de sa résistance, elle cède au plaisir dans de longs cris, et jouit voluptueusement pendant des instants qui me semblent une éternité.
Son orgasme manque bien de déclencher le mien mais, je ne sais trop comment, je parviens quand même à me retenir. Sans bouger, je la laisse finir de savourer chaque bribe de jouissance sur mon pieu tendu.
De nouveau, le silence. Pas un bruit. Soit cette partie de l’hôtel est vide, soit les personnes qui y logent sont toutes complètement sourdes. Il vaut mieux d’ailleurs, parce qu’avec les cris de Jennifer…
Mais, puisque personne ne semble venir, autant profiter de l’instant présent. Tandis qu’elle redescend doucement parmi nous, j’en profite pour admirer son corps splendide, couvert de sueur, ses seins gonflés et arrogants mis encore plus en valeur par sa position cambrée. Et puis, il y a son visage adorable, voilé partiellement par ses cheveux défaits, et ce regard qui porte encore en lui ...