1. L'animal qui est en toi


    Datte: 11/04/2018, Catégories: f, fh, Collègues / Travail vacances, parking, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, pénétratio, fsodo, amourpass, extraconj, Auteur: Catherine, Source: Revebebe

    ... Jennifer, elle, subit cet assaut en se retenant comme elle le peut, s’efforçant de ne pas trop bouger sur le bureau qui, malgré le tapis, commence à glisser dangereusement vers le mur. Dans peu de temps, si je continue ces coups de reins dignes d’un marteau-pilon, le bureau en question entrera en contact avec les autres meubles et tout l’ensemble, dont la fameuse vitrine, va se mettre à vibrer. Là, le potin qui va s’ensuivre ne pourra pas passer inaperçu…
    
    Tout cela, je le sais. Mais je ne suis plus vraiment maître de moi-même… Ce corps, ces hanches, ce cul et surtout cette chatte que Jennifer serre autour de ma queue comme si sa vie en dépendait ont eu raison de moi.
    
    Et comme si cela ne suffisait pas, elle accentue encore la cambrure de ses reins, cela me fait m’enfoncer encore un peu plus profond en elle et, bien que pour moi le monde alentour n’existe plus, je sais qu’elle gémit au rythme effréné de mes assauts.
    
    Je n’en peux plus, mon cœur va exploser, je suis totalement à bout de souffle, la sueur brûle mes yeux, je sens le point de non-retour approcher. Un éclair de lucidité, ne pas envoyer la purée tout de suite, faire encore durer le jeu, et j’arrive tant bien que mal à ralentir un tant soi peu mon pistonnage. Quelques instants encore, j’arrive même à me retirer d’elle, mais sa réaction me prend de court : à peine suis-je sorti qu’elle me rattrape par la queue et me ré-enfourne en elle, sans que j’aie eu le temps de faire quoi que ce soit. C’est elle désormais ...
    ... qui donne des petits coups de cul, et la façon dont elle serre mon sexe dans le sien n’a plus rien à voir avec ce qu’elle faisait quelques instants plus tôt. Cet infernal étau de chair me fait voir des étoiles à chacune de ses contractions, cette fois je n’en peux plus, je ne suis plus maître de rien et je m’abandonne à ma propre jouissance. Dans un hurlement de bête blessée, je me libère enfin, et j’ai l’impression que ma queue vient de se transformer en une lance d’incendie qui déverse des litres et des litres de semence brûlante dans l’antre de Jennifer.
    
    — Vite ! Vite ! Y’a du monde qui se ramène !
    
    Je n’y comprends rien, mais je me renfroque tant bien que mal, tandis que Jennifer a juste le temps de reposer le paréo sur ses seins. Par chance, elle a eu le temps de voir une porte dérobée que nous franchissons en trombe, juste à l’instant où le directeur, encore lui, pénètre dans le fumoir. Pour qu’il se déplace en personne, quelqu’un lui a certainement dit qu’il s’agissait sûrement de la même fille qui se baladait à poil dans les couloirs.
    
    — Il nous a vus ?
    — Je ne pense pas… En tout cas, il ne vient pas par ici. Et ils mènent où, ces escaliers ?
    
    Jennifer sourit.
    
    — Vraisemblablement au-dessus…
    
    J’aurais dû m’en douter, la question était idiote. Quelques minutes plus tard, après avoir parcouru quelques dizaines de mètres de couloirs qui ne sont vraisemblablement plus utilisés depuis des années, nous débouchons sur un palier quasiment en face de la porte de ...
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