1. L'animal qui est en toi


    Datte: 11/04/2018, Catégories: f, fh, Collègues / Travail vacances, parking, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, pénétratio, fsodo, amourpass, extraconj, Auteur: Catherine, Source: Revebebe

    ... je suis certain qu’elle en serait bien capable. Cela dit, se faire virer de l’hôtel ne serait peut-être pas le meilleur moyen de faire en sorte que notre idylle reste à tout jamais confidentielle. Je décide quand même de la mettre à l’épreuve.
    
    — Le dernier niveau, c’est la terrasse. À cette heure, il n’y aura sans doute personne. Tu me reposes la question là-haut ?
    
    Elle a alors un sourire carnassier.
    
    — D’accord. Mais on monte dans deux ascenseurs différents.
    
    Je ne sais pas pourquoi elle me demande ça, mais cela me donne immédiatement une idée.
    
    — Vendu… Rendez-vous là-haut.
    
    Mon idée en question, c’est de monter jusqu’à l’étage sous la terrasse et finir par l’escalier. Naturellement, je monte le dernier étage quatre à quatre, juste à temps pour la voir sortir de l’ascenseur dans la même tenue que celle qu’elle arborait l’après-midi et qui avait provoqué l’esclandre, à savoir, entièrement nue à l’exception de son porte-jarretelles, de ses bas et de ses hauts talons. Elle est quand même sacrément gonflée, me dis-je, après tout, elle n’avait aucune certitude d’être seule à l’arrivée ni même que la terrasse ne soit pas visible d’une chambre ou d’une maison avoisinante. Comme la sortie de l’escalier est derrière elle, elle ne m’entend pas arriver, et sursaute quand je lui mets l’index dans le dos.
    
    — Police. Vous êtes en état d’arrestation. Mettez les mains sur la tête.
    
    Elle a naturellement reconnu ma voix, et s’exécute sans broncher.
    
    — Je vais vérifier ...
    ... que vous ne portez pas d’arme, veuillez ne pas bouger.
    
    À part le fait que sa tenue est en soi, comme je l’ai déjà dit, une arme de séduction massive, je ne vois pas bien ce qu’elle pourrait cacher sur elle.
    
    Alors, après avoir effleuré ses hanches, je remonte jusqu’à ses seins que je caresse doucement. Dans l’état d’excitation qui est le nôtre depuis un bon moment déjà, rien d’étonnant à ce que leur pointe soit dure comme la pierre et qu’elle accueille mon étreinte avec un petit soupir de satisfaction.
    
    — Monsieur le policier, vous n’avez plus d’arme, il me semble…
    
    Pour cause, mes deux mains sont occupées.
    
    — Détrompez-vous, chère madame, vous êtes toujours dans ma ligne de mire…
    
    Et je profite de ma formidable érection pour lui coller ma queue contre les fesses. Bien entendu, mon sexe est toujours dans mon pantalon, mais il y a peu de chances qu’elle le confonde avec mon portable ou je ne sais quoi.
    
    — Ah, soupire-t-elle… Et je sens que c’est un gros calibre…
    
    Celle-là, j’aurais dû m’en douter.
    
    — En effet… Alors, veuillez-vous mettre face au mur, mains posées, et les jambes écartées.
    
    Sans rechigner, elle prend aussitôt la posture caractéristique des arrestations des films US. La seule différence, c’est qu’en général le gros méchant vilain pas beau gangster n’est pas une ravissante rousse quasiment nue, n’a pas un cul à damner un saint, et surtout il ne se cambre pas pour qu’entre ses jambes on aperçoive ses lèvres entrouvertes et, une fois de plus, ...
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