1. Souvenirs d'émois nocturnes


    Datte: 27/06/2020, Catégories: f, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation init, Auteur: Calliopyge, Source: Revebebe

    ... porte de la cabane, je prends mon courage à deux mains, me glisse à l’intérieur de la tente et m’allonge le plus rapidement et furtivement possible. Je rabats ma couverture sur moi et écoute. Sa respiration m’indique qu’elle dort. Ouf !
    
    Discrètement, je remets ma culotte, et la remonte lentement. Mission accomplie !
    
    Après toutes ces émotions, je m’endors rapidement…
    
    Nuit 4
    
    Pour ma dernière nuit de vacances ici, je sors à nouveau de ma tente et ma cabane au milieu de la nuit, simplement vêtue d’une petite culotte, un long tee-shirt, et mes chaussures. Je me challenge à faire le tour de la maison. Je traverse le jardin, prudente, alerte aux moindres bruits provenant de la maison. J’atteins la porte de derrière, et longe le mur de la maison pour en faire le tour.
    
    Une fois du côté face de la maison, je me rends compte qu’un lampadaire non loin empêche le devant de la maison de baigner dans la pénombre. J’observe la petite rue d’un calme plat. N’importe qui dans les maisons voisines en face pourrait me voir traverser.
    
    Je m’avance dans la lumière, pas après pas. Je me sens totalement vulnérable, la peur me paralyse presque, je dois lutter contre moi-même pour ne pas retourner fissa dans les ténèbres d’où je viens.
    
    Je rejoins un petit banc en bois devant la maison ou je m’assieds. Longuement, j’écoute mon environnement, prête à déguerpir au moindre bruit suspect. Je me force à rester là, bien qu’une part raisonnable de moi-même me hurle de retourner me ...
    ... planquer derrière la maison.
    
    Petit à petit, je suis plus à l’aise. Je contemple l’architecture simple des maisons, et le ciel magnifique de la campagne dont je n’ai pas l’habitude.
    
    Je me calme, domine ma peur, jusqu’à ce que l’excitation au fond puisse à nouveau se faire entendre. En toute prudence, je descends lentement ma petite culotte jusqu’à mes genoux, je ne peux m’empêcher de sourire, je me mords la lèvre, ma culotte tombe à mes pieds. J’hésite à la poser à côté de moi sur le banc, mais préfère finalement la laisser à mes pieds, au cas où je devrais me reculotter d’urgence. Mes jambes s’ouvrent, mon intimité toujours dissimulée par le long tee-shirt que je porte.
    
    Je relève légèrement le tee-shirt d’une main. Mes doigts viennent parcourir la fine crinière entre mes cuisses. Tout en le faisant, j’imagine un vieux briscard de la campagne, offusqué d’assister à ce spectacle depuis sa fenêtre de la maison en face, une sorte de Louis de Funès dans la soupe au chou. J’oublie totalement mon angoisse, le désir ardent écrase ma raison. Ma main joue avec ma toison, caresse mon ventre, plonge dans l’intérieur de mes cuisses et finit sur ma fente, que je réveille par des cercles effectués avec mon majeur. Mon autre main passe sous mon tee-shirt et vient me caresser les seins, remontant alors mon tee-shirt jusqu’au nombril.
    
    Les yeux mi-clos, mes jambes s’écartant encore plus, mon sexe s’humidifiant rapidement, je perds le contrôle, mes petits tétons durcissent, une chaleur ...