1. Souvenirs d'émois nocturnes


    Datte: 27/06/2020, Catégories: f, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation init, Auteur: Calliopyge, Source: Revebebe

    ... Elle verra, ça sera trop bizarre ! Je saisis ma couverture et me couvre le bas du corps.
    
    Bêtement, je souris. J’ai le contrôle, même si elle se réveillait là maintenant, je pourrais me couvrir comme si de rien n’était. J’enlève la couverture. Je profite de ce moment, la touffe à l’air, sereine.
    
    D’un coup, je remonte les jambes, enlève entièrement ma culotte, et m’étends à nouveau. Ayant la culotte dans ma main, je me rends compte qu’il faudrait que je la cache. Je recouvre mes jambes en cherchant où je pourrais planquer ma culotte. Sous l’oreiller ? Et si je la laissais là, bien en vue, et que je restais couverte ?
    
    Je reste un moment ainsi, à me demander si j’aurais le courage d’aller jusqu’au bout. Dans ma réflexion, je me redresse, et reste assise dans la tente, songeuse, à côté de mon amie endormie qui ne sait rien de tout ça.
    
    Afin de me changer les idées, je décide sans réfléchir de sortir de la tente. Peut-être un peu trop vivement, peut-être un peu trop tôt, peut-être un peu trop bruyamment, car quelques secondes après j’entends mon amie qui me demande d’une petite voix ce que je fais. Une dizaine de réponses se heurtent dans ma tête en une fraction de seconde, celle qui sort spontanément est alors :
    
    — Je cherche mon portable !
    
    Un court silence, puis je l’entends bouger à l’intérieur. Dans ma tête c’est la panique totale, je suis cul nul ! La tente s’ouvre, je ne sais plus où me mettre ! Elle sort la tête, et tend son bras vers moi pour me présenter ...
    ... ce que j’identifie dans l’obscurité comme étant mon téléphone. Je le récupère, et elle disparaît dans la tente. Incroyable ! Elle n’a rien remarqué, dans l’obscurité ?
    
    Je réfléchis un instant tout en laissant mes palpitations s’atténuer. Ne voulant pas prendre de risque en retournant dans la tente tant qu’elle ne sera pas rendormie. Je sors de la cabane en sortant un « ’vais pisser… ! ».
    
    Et me voilà dans le jardin, sans chaussures, et sans culotte… La lune illumine mon corps à moitié nu d’une lumière argentée. Il fait aussi bon que l’autre soir. Je sens l’herbe fraîche sous mes pieds, le vent tiède caresser le haut de mes fesses, comme si quelqu’un venait passer délicatement sur ma peau du bout des doigts.
    
    Après un moment d’hésitation, je m’aventure au milieu du jardin. Et si l’un des garçons m’apercevait de sa fenêtre ? Oh, sûrement qu’il n’y verrait rien dans l’obscurité, de toute façon.
    
    Et maintenant ? Je vais vraiment aux toilettes ? C’est vrai que j’ai envie. Mais il faudrait que je rentre à moitié à poil dans la maison, et la chasse d’eau va faire un boucan du diable… Toujours plus audacieuse, je repère une zone discrète du jardin, m’accroupis, et urine dans l’herbe, tout en surveillant la maison plongée dans le noir.
    
    Mon affaire bouclée, je retourne à la cabane, me demandant si mon amie s’est rendormie… Arrivée devant la tente, je sais que je ne dois pas hésiter une seconde, au risque de paniquer et ne plus oser y revenir. Alors, tandis que je referme la ...