1. Souvenirs d'émois nocturnes


    Datte: 27/06/2020, Catégories: f, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation init, Auteur: Calliopyge, Source: Revebebe

    ... quelque chose… ?
    
    Un craquement à l’étage me sort de mes rêveries. Gardant mon sang-froid, je pose le verre sur la table du salon le plus silencieusement possible, puis commence à fuir vers la porte du jardin. Mais, il ne semble pas y avoir plus de bruit. Je m’immobilise, écoute… Maintenant des pas qui descendent les escaliers ! D’un bond furtif je finis de rejoindre la porte de la cuisine, l’ouvre à moitié et me faufile à l’extérieur. De peur de faire trop de bruit, je ne referme pas la porte et cours me mettre à l’abri derrière un énorme pot en pierre. Dans l’obscurité, j’observe la maison, j’entends la porte se refermer, personne n’est sorti. Mon cœur bat la chamade, l’adrénaline me rend folle, j’attends, accroupie dans ma cachette, que la pression descende, suffisamment pour que la présence soit remontée. Puis je rejoins la tente, et m’endors, la tête pleine de rêves.
    
    Au jour levé, lors du déjeuner, j’entends demander si quelqu’un a laissé la porte du jardin ouverte, personne n’a répondu…
    
    Nuit 2
    
    La nuit suivante, alors qu’il me semble que mon amie vient de s’endormir, moi je repense à mon aventure de la veille. J’ai soif à nouveau, mais j’ai prévu une bouteille d’eau cette fois. Je souris en me disant que peut-être que je n’aurais pas dû la prendre cette bouteille, que j’aurais dû faire une nouvelle expédition nocturne. Tellement de pensées m’envahissent que je ne trouve pas le sommeil. Par une étrange lubie née d’un subtil mélange d’ennui et d’excitation, je ...
    ... descends légèrement ma petite culotte, juste assez pour que ma jeune toison soit découverte. Il fait trop chaud à l’intérieur de la tente pour dormir totalement sous les couvertures. J’imagine mon amie se réveiller aux premières lueurs du jour et l’apercevoir. L’idée m’excite, et pourtant je m’endors ainsi.
    
    Au réveil, je me rends compte que mon pubis est de nouveau couvert. Je me demande si ma culotte est remontée d’elle-même par frottements, ou si je l’ai remontée dans mon sommeil. L’idée que je me sois dégonflée dans mon propre sommeil sans m’en rendre compte m’amuse. En tout cas l’excitation est retombée, et maintenant que la lumière du soleil a fait disparaître les ténèbres qui devenaient petit à petit mes complices, je n’ose plus la redescendre et attendre le réveil de mon amie.
    
    Nuit 3
    
    Pendant la journée, je repense à mon désir d’exhibition. Et ne me vient qu’une envie, c’est de retenter le coup de la culotte. Le moment venu, alors que la respiration de mon amie m’indique qu’elle s’est endormie, et que ma complice la nuit est revenue nous envelopper, je libère à nouveau ma toison. Je teste plusieurs positions pour dormir, cherchant un moyen de l’empêcher de remonter toute seule tout en permettant à mon amie de ne pas louper le spectacle.
    
    Il fait vraiment chaud dans cette tente… Je bois. L’excitation montant en moi, je me permets la folie de descendre ma culotte jusqu’au bas des fesses, cachant tout juste ma fente. La raison me revient trois secondes plus tard. ...
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