1. L'offrande festive


    Datte: 27/06/2020, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... ici dans cette chambre d’hôtel !
    
    Soudain, mon interlocuteur lance :
    
    — Et si on passait aux choses sérieuses ?
    — C’est-à-dire, Assur ?
    — Bérénice, s’il te plaît… Je te précise qu’Aqui est droitier…
    
    Elle se lève, contourne la table de salon sur laquelle sont posés nos verres, puis elle s’approche de moi. Debout à ma droite, mains en avant, elle projette son corps par-dessus mes genoux et en un rien de temps son ventre se pose sur mes jambes, ses longs cheveux masquant à présent son visage. Je constate que le tissu de sa robe est très fin, nettement plus que celui de mon pantalon car je ressens distinctement la diffusion de sa chaleur. Bérénice remue un peu, cherchant à mieux se caler, à s’installer confortablement sur mes jambes. Puis elle s’immobilise en disant :
    
    — C’est bon, je suis prête !
    — OK ! Eh bien maintenant, c’est à toi de jouer, Aqui…
    — À moi de jouer ?
    — À toi de fesser, si tu préfères…
    
    Ah oui, de fesser… Nous y voici. J’ai attendu si longtemps ce moment que je ne sais absolument pas quoi faire ! J’ai une belle femme sur mes genoux qui attend ma main, et moi je suis là, comme ailleurs, paralysé…
    
    Assurbanipal me désigne du doigt la jupe de sa femme et me fait signe de la relever. Ce qui n’est pas une mauvaise idée, en effet. Donc acte ! Alors, délicatement, du bout des doigts, je remonte le fin tissu, dévoilant d’abord les bandes noires de ses bas, puis j’arrive ainsi à l’orée entre noir et chair. Il n’y a pas à dire, ça fait toujours son ...
    ... effet ! Un éternel féminin !
    
    Je continue mon retroussage, la chair des cuisses se révèle peu à peu, une chair appétissante. Il y a toujours eu analogie entre le sexe et la gastronomie, et une fois de plus ça se confirme. On déguste ces instants, comme on dévore ensuite la dame.
    
    J’arrive à l’endroit stratégique, le pli rebondi entre jambe et fesse… Quelques millimètres plus loin, je constate que Bérénice ne porte rien dessous, pas même un string comme je le supposais. Je marque un petit temps d’arrêt. Assurbanipal m’informe :
    
    — Eh oui, ma Bérénice porte rarement une petite culotte…
    — En effet, c’est bien ce que je découvre…
    — Et c’est bien, n’est-ce pas ?
    
    Oui, c’est bien, en effet… Pour rester dans le domaine culinaire, le vin est tiré, buvons-le. Je dévoile complètement les fesses blanches de Bérénice. Quand je pense que, dans quelques instants, ce mignon cul tout blanc sera rougi…
    
    — Je t’explique un peu…
    — Je t’écoute, Assur…
    
    Il vient se positionner à côté de sa femme, face à moi, puis lentement, de ses deux mains, il commence un étrange ballet sur les fesses offertes, ses paumes un peu creusées :
    
    — Tu épouses la forme de ses fesses, c’est encore plus voluptueux ainsi…
    — Ah OK, paumes creusées ? Pas à plat ?
    — À plat, c’est pour que ça soit plus piquant, pour elle, mais aussi pour toi… À toi…
    
    Je respire un grand coup puis je m’exécute.
    
    Clac ! Clac !
    
    Ma main vient de s’abattre doublement sur les fesses offertes ; celles-ci vibrent un peu sous ...
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