1. L'offrande festive


    Datte: 27/06/2020, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... l’impact, étrange mais ravissante vision. Puis une marque faiblement rouge commence à surgir de ces deux hémisphères blancs.
    
    Durant quelques secondes, je contemple mon œuvre. Puis, l’appétit venant, je lève la main pour donner la deuxième salve sur ces fesses qui n’attendent que ça, oui, d’être fessées à cul rouge. Ma main s’abat à nouveau sur ces fesses qui trépident une fois de plus sous le choc. Studieux, j’applique consciencieusement la leçon…
    
    Il a raison, cette façon de donner la fessée est particulièrement sensuelle, à la fois caresse et tape virile. Bérénice oscille sur mes jambes, elle semble apprécier ; alors j’augmente un peu la cadence et la force, surveillant du coin de l’œil ses réactions. C’est grisant, j’appréhende mieux ces histoires de self-control qu’on exige d’un Maître, car je comprends bien que quand on est lancé, on peut avoir du mal à se freiner d’y aller encore plus fort, encore plus puissant, dévastateur et destructeur…
    
    Petit à petit, j’augmente la cadence, la pression. J’adore voir ces fesses qui vibrent, qui oscillent, douces et meurtries. Parfois, je caresse ce cul offert, ce cul chaud, brûlant même, cul sur lequel douceur et violence s’entremêlent…
    
    — Humm… oui… oui… susurre Bérénice.
    
    J’interroge son mari du regard ; il me répond silencieusement que je peux monter d’un cran, ce que je fais avec application et contrôle.
    
    Transportées, mes mains dansent, mes claques virevoltent sur son postérieur carmin qui tangue sous les impacts ...
    ... sonores. J’adore son souffle syncopé, ses trémoussements, son bassin câlin qui se déhanche, son dos parfois cambré, ses petits cris. Oh oui, c’est vraiment divin de donner une belle et longue fessée à une femme qui aime en recevoir ! Je l’ai déjà dit, mais c’est vraiment divin, mon petit paradis sur terre ! Voir son derrière rougir encore et encore, d’entendre le claquement, de contempler l’empreinte de ses doigts sur sa chair si exquise et délectable, de…
    
    — Oui ! Oui ! Encore ! Humm, encore !
    
    Assurbanipal me fait signe que je peux augmenter une fois de plus la cadence. Il se penche à mon oreille tandis que je fesse avec délectation sa femme :
    
    — Je crois que tu peux y aller de bon cœur, elle est presque entrée en transe…
    — En transe ? Avec des fessées ?
    — Oui, c’est possible, et avec l’attrait de la nouveauté que tu représente, ça aide…
    
    C’est alors que commence un artifice de fessées ; Bérénice vibre, crie parfois, halète souvent, elle se débat mollement, cherchant surtout à mieux se positionner pour que ma main aille là où elle préfère. Parfois, je claque tout en retenue son mignon cul à présent écarlate ; parfois, j’accentue sadiquement la cadence. Ma main pique, chauffe, brûle, mais je ne désire plus m’arrêter !
    
    Grisé par le bruit, l’ambiance, la situation, j’accentue encore un peu plus mes claques sur ses fesses pourpres qui vibrent sous les impacts ; elle se trémousse, se cabre, poussant des tas de petits cris. Oui, c’est divin de donner une belle et ...